« La Vérité, l'âpre Vérité »

Comment peut-on faire des lois basées sur des « fake news » ?

  • 12 juillet 2019

En principe dans une démocratie une loi est établie après avoir analysé objectivement une situation. La réglementation nouvelle qui en résulte doit être basée sur des faits irréfutables.

Depuis la montée en puissance de l’écologisme – cette forme de religion qui place la nature devant l’homme et rend ce dernier responsable de tous les maux – on voit de plus en plus de lois qui ne reposent sur aucun fait objectif mais sont le résultat d’informations fausses et de manipulations du public. Les groupes sectaires à l’origine de ces manipulations estiment que leur démarche est légitime et admettent volontiers qu’il est licite de propager des mensonges dès lors que la cause le justifie. La quasi-totalité des médias reprennent ces informations sans faire aucune enquête contradictoire. Le pire est que nos gouvernants sautent sur ces « fake news » en négligeant toute opinion scientifique contraire dès lors que l’opinion y adhère.

L’exemple le plus symbolique de cette démarche est le dérèglement climatique. Il n’est plus à prouver que le GIEC est un organisme chargé par l’ONU de démontrer que l’homme est responsable du réchauffement de la terre. Pour ce faire le GIEC fait la promotion de tous ceux qui contribuent à cette thèse et qui sont de ce fait inondés de subventions en tous genres. A contrario ceux qui émettent le moindre doute sont ostracisés et ils ne trouvent plus de financement. Le système est redoutable car les moyens financiers en jeu sont énormes.

En France les « fake news » concernant le CO2 ont amené l’état à prendre une série de mesures concernant la « transition énergétique », toutes aussi couteuses qu’inutiles. La France est l’un des meilleurs élèves au monde en matière d’émissions par habitant et n’a nul besoin de développer massivement les renouvelables. C’est pourtant ce qui est fait et l’addition pour les particuliers et les entreprises est chaque jour de plus en plus lourde. A quand les gilets bleus ?

Les OGM sont un autre exemple de manipulation totale. Sur la base d’une étude qui s’est révélée totalement mensongère faite par le faussaire Séralini, la France a passé des lois d’interdiction de toute recherche et utilisation des OGM. L’étude a été invalidée et la manipulation et le mensonge ont été démontrés mais les lois d’interdiction sont toujours là. Macron, avant son élection, avait dit que le sujet des OGM était injustement traité mais il n’a pas eu le courage de changer quoi que ce soit.

De même, le glyphosate est-il reconnu comme non cancérigène par la totalité des agences sanitaires mondiales mais la France veut l’interdire, seule contre tous, ce qui évidemment viendra d’abord impacter les agriculteurs français.

Le nombre de manipulations dans lequel des « fake news » – propagées par des militants de l’écologisme ou de la gauche extrême – conduisent nos gouvernements à passer des lois absurdes et destructrices pour notre pays est sans fin.

La question se pose vraiment. Peut-on, en démocratie, faire voter des lois basées sur des « fake news » et maintenir ces lois même lorsque les supercheries et manipulations sont révélées ? Quelle est alors la valeur des textes et règlements qui ne sont basés que sur le mensonge ?

CLUB DANTON

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2 commentaires actuellement

  1. Le GIEC est effectivement un organisme coupable d’entretenir des fausses informations par idéologie pure. Ce qui est pire encore que les crédits qui sont coupés quand on est pas dans le moule, c’est l’impossibilité de recruter des jeunes pour faire des expertises scientifiques sur le climat. Le système est de plus en plus verrouillé par le GIEC.

  2. Peut on en démocratie laisser faire les escrocs de la politique et ceux des médias qui n’ont de religion que le fric et le pouvoir
    Il est aussi de notoriété que la dictature vient toujours des jeunes qui arrivent au pouvoir sans expérience et surtout sans vécu sauf si le vécu veut dire se goinfrer de homards
    Il serait opportun de supprimer tous les avantages en nature des parlementaires et ministres pou les mettre au même régime que les entreprises avec justificatif de toutes les dépenses y compris leurs déplacements
    Et avant tout punir les politiques de métier qui sont tous constructeurs de dictatures sociales et économiques

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