« La Vérité, l'âpre Vérité »

Ecologisme et loi sur les « fake news »

  • 1 juillet 2019

        La loi n°208-1202 du 22 décembre 2018 contre la manipulation de l’information en période électorale donne un nouvel instrument pour combattre les affirmations mensongères des divers groupes qui professent l’écologisme, cette doctrine dévoyée qui s’abrite derrière des sujets environnementaux pour prôner la décroissance et détruire l’économie libérale.

        La définition des « fake news » donnée dans la loi est la suivante : « allégations ou imputations inexactes ou trompeuses d’un fait de nature à altérer la sincérité du scrutin ». La loi précise également qui est concerné. Il s’agit des entreprises « qui fournissent un service de communication en ligne, qui classent ou qui référencent par des algorithmes des contenus, des biens ou des services fournis au public par des intermédiaires ».

        Or il se trouve que le lobby écologiste, qui sévit à l’échelle mondiale, est l’une des toutes premières sources de « fake news ». Il alimente en permanence, mais particulièrement en période électorale, les médias et les réseaux sociaux d’informations mensongères, outrancières ou tronquées.

        L’écologisme – encore appelé écologie profonde -, a pris sa source principalement aux USA à la fin de la guerre froide avec des gourous comme Ehrlich ou Lovelock et son livre culte, L’hypothèse Gaïa. Les méthodes de l’écologie profonde visent à contrôler les électeurs et à travers eux les gouvernants en créant la peur, moyen le plus sûr de contrôle des masses.

        Depuis quelques années le réchauffement climatique est devenu le thème culte des écologistes. Aux USA, la nouvelle coqueluche des Démocrates, Alexandria Ocasio-Cortez (AOC), en a fait son cheval de bataille et elle parcourt les plateaux télé en expliquant que la fin du monde est dans 12 ans…

        La liste des « fake news » sur le réchauffement propagé par le lobby écologiste est sans fin mais on peut commencer par faire un inventaire des mensonges les plus flagrants.

        Le GIEC est un groupe d’experts. Fake News !
        Le mot expert n’apparait que dans la traduction française (allez savoir pourquoi…) puisqu’en anglais IPCC signifie International Panel on Climate Change. Le terme anglosaxon est conforme à la réalité puisque les membres du GIEC sont des politiques nommés par leurs gouvernements. Par ailleurs, la mission du GIEC est explicitement définie dans ses statuts comme « l’analyse du rôle de l’homme sur le changement climatique ». La messe est dite dans le libellé de la mission : pourquoi un organisme qui vit grassement aux frais des contribuables, dont les membres voyagent en 1ère classe et descendent dans des hôtels 5 étoiles, se saborderait-il en mettant en doute sa raison d’être, i.e., le rôle de l’homme dans le réchauffement ? Il y a bien sûr un grand nombre de scientifiques qui contribuent aux travaux du GIEC mais le résumé pour décideurs – le seul qui est lu et repris par tous les médias du monde entier – est rédigé par des politiques qui ne retiennent dans les analyses scientifiques que ce qui va dans leur sens. Toutes les contributions qui mettent en doute le rôle de l’homme et du CO2 dans l’évolution du climat sont ignorées. C’est pourquoi de nombreux scientifiques de premier rang – comme Français Gervais en France ou Richard Lindzen aux USA – qui ont contribué aux travaux du GIEC à l’origine, sont partis.

        Le CO2 est responsable de l’effet de serre et de son évolution. Fake News !
        Premièrement, le CO2 contribue pour moins de 1% à l’effet de serre qui est dans son immense majorité (98%) lié à la vapeur d’eau. Le GIEC ne nie pas ce fait mais fait appel à un artifice en introduisant le concept de « rétroaction positive » qui est censé amplifier massivement l’impact de la très faible quantité de CO2. Or ce concept est purement théorique et n’a jamais fait l’objet de la moindre validation expérimentale. C’est une simple équation introduite dans les modèles mathématiques utilisés pour prédire l’évolution du climat. Il faut noter du reste que les modèles du GIEC sont totalement incapables d’expliquer la baisse de température observée entre 1945 et 1975, époque où le CO2 augmentait continument et où les gourous de l’écologisme prédisaient une nouvelle ère glaciaire !
        Deuxièmement, la molécule de CO2 absorbe effectivement la chaleur mais sur une longueur d’onde très spécifique. Or cette longueur d’onde est depuis longtemps totalement saturée si bien que les nouvelles molécules de CO2 émises n’absorbent plus rien et ne contribuent donc plus à l’effet de serre.

        La température du globe ne fait qu’augmenter. Fake News !
        Depuis environ 15 ans la température du globe est stable de l’aveu même du GIEC, qui parle de « hiatus ». La Nasa – pourtant favorable aux thèses du GIEC – a même récemment estimé que la température a baissé de 0,2°C sur les deux dernières années. Par ailleurs, les pics de températures enregistrés dans les dernières décennies correspondent tous à des épisodes El Nino. C’est notamment le cas de l’année 2016.

        Le CO2 est un poison. Fake News !
        Le CO2 est le gaz de la vie. Sauf à des doses considérables – comme celles rencontrées à la surface de Vénus – le CO2 n’a aucune nocivité sur l’homme. Et heureusement car nous en émettons massivement via la respiration ! Le CO2 a au contraire un effet extrêmement bénéfique sur la croissance des plantes puisqu’il en est le facteur principal (avec la chaleur) à travers la photosynthèse. Depuis 30 ans, c’est l’augmentation de la teneur en CO2 qui a permis d’augmenter les rendements agricoles – toutes choses égales par ailleurs – de 20% à 30%.

        Le soleil ne peut pas expliquer les variations de températures. Fake News !
        Les « réchauffistes » du GIEC prétendent que l’amplitude de l’énergie solaire reçue par la terre évolue très peu et ne peut donc expliquer seule les variations climatiques. C’est totalement faux car les différents cycles solaires – qui ont plusieurs périodes, de quelques centaines de milliers d’années à quelques dizaines d’années – ont au contraire une forte corrélation avec les variations de la température terrestre. Le GIEC ignore – ou plutôt fait semblant d’ignorer – que le rôle du soleil ne se limite pas aux radiations thermiques mais également au rayonnement cosmique qui perturbe le magnétisme terrestre et évolue en fonction notamment du nombre de taches solaires.

        Trump est sorti de l’accord de Paris sur un coup de tête. Fake News !
        Le président Trump est entouré de nombreux experts et scientifiques et il a constaté, comme beaucoup d’autres, qu’il n’y avait aucun consensus scientifique sur le réchauffement. Il a donc décidé – à juste titre – que les Etats-Unis n’avaient pas à se saigner à blanc pour un bénéfice très incertain alors que d’autres pays continuaient à augmenter massivement leurs émissions de CO2. Car la vérité c’est que l’accord de Paris n’est qu’une coquille vide dont le seul effet est de permettre à l’Inde et à la Chine de continuer à accroître leurs émissions de CO2 jusqu’en 2030 / 2035. Ces deux pays seuls sont ainsi responsables de plus de la moitié de l’augmentation des émissions de CO2 de la planète. Obama avait soutenu le lobby écologiste, non par conviction, mais dans l’intérêt des requins de la finance qui sont nombreux à en vivre.

        On peut concevoir un monde sans hydrocarbures en 2050. Fake News !
        Les hydrocarbures représentent aujourd’hui 80% des besoins en énergie de la planète. Dans le plus agressif des scénarios ils en représenteront encore 70% en 2050 et plus probablement 75% compte tenu du développement massif du charbon en Inde et du gaz un peu partout. Il est impossible de concevoir une alimentation électrique à base d’éolien et de solaire uniquement car ces énergies sont par définition intermittentes et ne fournissent de l’énergie que 15% à 25% du temps. Par ailleurs le stockage de masse de l’énergie, permettant notamment de faire face à la saisonnalité de la demande, reste pour le moment une utopie qui va au-delà de nos connaissances en physique.

        En sus des questions climatiques les produits phytosanitaires sont également une source intarissable de Fake News.

        Le glyphosate est cancérigène. Fake News !
        Aucune agence sanitaire au monde – aucune ! – ne considère le glyphosate comme cancérigène. L’EPA américaine – pourtant peu suspecte de complaisance vis-à-vis de l’industrie agrochimique – a récemment publié une nouvelle étude pluriannuelle confirmant la non dangerosité du glyphosate. La seule entité au monde – la seule ! – qui classe le glyphosate en cancérigène probable est le CIRC, un organisme de l’ONU dépendant de l’OMS. Mais même sa maison mère, l’OMS, est en désaccord. Il faut dire que la méthodologie du CIRC est particulièrement controversée puisque cet organisme confond risque et danger et ignore les conditions d’utilisation et le dosage. Nous avons tous chez nous beaucoup de produits dangereux (l’eau de Javel, le White Spirit, …) qui peuvent entrainer la mort si nous les absorbons à forte dose. Mais ils ne présentent pas de risque élevé car aucun adulte sain n’a l’idée d’en boire ! Le CIRC classe ainsi en cancérigène probable le glyphosate au côté du chocolat, du café ou de l’aspirine ! C’est absurde mais le combat est devenu de nature religieuse !

        La secte écologiste, qui défend ouvertement son droit au mensonge, a cumulé les contrevérités depuis plus de 30 ans sans jamais être mise en cause par un seul tribunal et sans jamais subir la moindre contre-expertise objective de ses allégations. In fine c’est la démocratie qui est attaquée car des dizaines de députés ont été élus sur la base unique de ces « fake news » et des dizaines de milliards sont dépensés de manière totalement inutile et au détriment d’actions nécessaires. Et le tout est financé par impôts, taxes et prélèvements divers ce qui bien évidemment diminue le pouvoir d’achat des français. Jamais une telle manipulation n’a vu le jour, sauf sous les régimes totalitaires !

        Utilisons la loi sur les Fake News pour révéler l’imposture aux yeux de tous !

        CLUB DANTON

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2 commentaires actuellement

  1. Toute ces fariboles écologistes nous coûtent une fortune en subventions diverses et variées .destructions d’emploi ,fermetures d’usines ,abus des normes qui rendent notre agriculture de moins en moins compétitive et la censure dans les médias si vous êtes climatosceptique et les politiques marchent par pur démagogie llll

  2. Malheureusement toutes ces “fake news” vont créer des situation de conflit qui seront assez graves à travers le monde. Est-ce le but recherché ?
    Les guerres ont toujours profité à une minorité de salopards qui s’en mettent alors plein les poches et surtout permettent à de nombreux Etat de remettre leurs compteurs financiers à “0” sur le dos de la société toute entière. Mais à constater le niveau de réflexion, de bon sens et de folie d’une grande partie de la population devenue majoritaire je me demande parfois si cela ne serait hélas pas la solution pour calmer tout le monde !

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