« La Vérité, l'âpre Vérité »

Oui, on manipule la maladie !

  • 6 mars 2021

Vous vous souvenez certainement qu’au début de la pandémie, plusieurs instituts et laboratoires avaient prévu de tester l’efficacité des médicaments existants, d’abord in vitro puis en essais cliniques. Et puis on n’en a plus entendu parler… Les deux produits qui sont sortis du lot, l’(hydroxy)chloroquine et l’Ivermectine, ont été combattues par tous les moyens par un corps médical international pour lequel toute nouvelle maladie doit nécessairement donner naissance à un nouveau traitement avec les énormes coûts de développement associés et toutes les retombées financières correspondantes.

Le Pr. Raoult a été trainé dans la boue et pour détruire la chloroquine on a lancé toute une série de tests en hospitalisation en sachant très bien que le résultat serait négatif car le traitement à base de chloroquine ne fonctionne que dans les 7 à 10 premiers jours du développement de la maladie. Les autorités sanitaires françaises et l’Ordre des Médecins sont allés jusqu’à faire interdire le traitement à la suite d’une « fake publication » dans le journal de référence The Lancet. Le plus ahurissant est que cette interdiction a été maintenue après que le journal a reconnu que la publication était erronée et les données falsifiées.

Le produit concurrent de la chloroquine du Pr. Raoult est le Remdesivir de la société Gilead, présenté dès l’origine par Raoult comme la vache à lait de l’organisation du contrôle médical en France et dans le monde. Pourtant le 12 octobre 2020, l’OMS a remis en question le Remdesivir pour son inefficacité et sa toxicité rénale en particulier. Ceci n’a pas empêché la Commission Européenne d’acheter 500 000 doses de Remdesivir pour un montant de 1,2 milliard de dollars. La France ne semble pas en avoir commandé en direct. Les ventes de Gilead avec le Remdesivir ont atteint 2,8 milliards de dollars en 2020, dont 1,9 milliard au seul quatrième trimestre. Et Gilead espère vendre en 2021 entre 2 et 3 milliards de ce médicament inefficace et toxique, mais très rentable…

Le second produit qui a montré son efficacité est l’Ivermectine, un médicament ancien produit par Merck. Mais Merck a dès l’origine dénigré ce vieux médicament peu lucratif et a mis en avant deux nouveaux médicaments qui n’ont cependant rien donné.

Le Dr Gérard Maudrux, qui a compilé les résultats très positifs obtenus avec l’Ivermectine, a été menacé par l’Ordre des Médecins. Et il en est de même de France Soir qui a accepté de les publier. L’étude intitulée « Preliminary meta analysis of randomized trials of ivermectin to treat Sars-Cov 2 infection » montre que sur un échantillon de 2282 patients, l’Ivermective permet une baisse de la mortalité de 75%, une réhabilitation plus rapide et une diminution de la charge virale plus rapide.

Normalement nos instances médicales auraient dû se jeter sur ce produit pour vérifier son efficacité, sa non-toxicité étant largement démontrée. Mais si les résultats initiaux étaient confirmés, l’industrie pharmaceutique et tout le système qui l’entoure perdrait des dizaines de milliards. Et il faut donc tout faire pour tuer ce qui ne rapporte rien…

CLUB DANTON

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