« La Vérité, l'âpre Vérité »
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    Ecoutez notre gros malin national : « Nicolas Sarkozy avait fait de la conservation du triple A un objectif politique et même une obligation pour son gouvernement. C’est ainsi qu’avaient été justifiés pas moins de deux plans de rigueur en quatre mois. Cette bataille, et je le regrette, a été perdue. ».

     

    Décryptons le vrai message :

    –       Hollande n’aurait donc pas fait de la conservation du triple A un objectif politique. Comme Edith Cresson l’avait dit en son temps, les marchés financiers, il n’en a rien à cirer !

    –       Hollande n’aurait pas donné à son gouvernement l’objectif de défendre le triple A. Sur cela on peut le croire. Son gouvernement aurait été trop occupé à embaucher de nouveaux fonctionnaires et à  rétablir la retraite à 60 ans,

    –       Et évidemment Hollande n’aurait pas fait de plan de rigueur pour défendre le tripe A, ce détail sans importance.

     

    Hollande se pose en candidat de « l’espérance lucide » : une formule qui résume bien sa perpétuelle indécision. Une petite dose d’espérance, une louche de lucidité.

     

    Et c’est bien cela qui inquiète les marchés : avec un candidat aussi faible, les socialistes risquent de se retrouver aux mains de leur aile dure, les Verts, les Hamon et autres Mélenchon. Les Etats-Unis ont perdu leur triple A non pas en raison d’une détérioration subite de leurs finances publiques mais parce que Démocrates et Républicains ont entamé une guerre de tranchée.

     

    En France, c’est la perspective de voir Hollande au pouvoir qui inquiète les agences de notation. S&P a donné un satisfecit à Sarkozy pour sa réforme des retraites et sa politique de réduction du nombre de fonctionnaires. C’est la poursuite de cette politique courageuse qui est mise en relief comme un risque, c’est-à-dire en clair l’arrivée d’une gauche molle au pouvoir à la merci de ses extrémistes.

     

    Et soyons clair, ce n’est pas l’alternance démocratique qui est ici en cause mais la combinaison entre un candidat socialiste faible et un programme totalement irréaliste tiré par la gauche de la gauche et les verts.

    Résumons : Hollande n’a ni programme, ni colonne vertébrale. La gauche dure et les verts ont (hélas) un programme et beaucoup plus de convictions que Hollande. Si cet attelage arrive au pouvoir, que croyez-vous qu’il adviendra ? Hollande sera le pantin qui mettra en œuvre le programme commun HMV (Hamon/Mélenchon/Verts) : mise en place des 32 heures, embauche massive de fonctionnaires, création de nouveaux emplois jeunes, régularisation de tous les sans-papier, sortie du nucléaire,…. La France tiendra probablement quelques mois avant le coup de sifflet final des marchés.

     

    Hollande a la mémoire bien courte. Il sait parfaitement que la dette actuelle de la France – au-delà des crises et des aléas externes au pays -, trouve son origine dans le gaspillage insensé des années de pouvoir socialiste : retraite à 60 ans, 35 heures, embauche de 1,4 millions de fonctionnaires. Ces trois mesures seules ont mis la France à genou et pour très longtemps. Bien sûr elles ont été prises il y a longtemps mais il faut bien réaliser que l’embauche de fonctionnaires, employés à vie, a un effet cumulatif considérable au fil du temps. Si 1,4 millions de fonctionnaires coutent chaque année environ 70 milliards à l’état, la dette se creuse chaque année de 70 milliards puisque nous devons emprunter pour financer notre déficit primaire. Il est donc tout à fait légitime de considérer que si le nombre de fonctionnaires en France était resté au niveau de 1981, nous aurions – toutes choses égales par ailleurs – près de 1600 milliards de dette en moins. Nous serions donc à l’équilibre et le meilleur élève de la classe européenne.

    Et qu’on ne nous dise pas que ces personnes devenues fonctionnaires se seraient retrouvées au chômage : c’est dégradant et insultant pour elles. Elles auraient trouvé un (vrai) travail dans le secteur marchand dont la compétitivité aurait été renforcée. C’est à peu près ce qu’a fait l’Allemagne socialiste de monsieur Schröder. Comme le souligne un ouvrage célèbre « à chaque fonctionnaire, son chômeur ».

     

    Les malheureux plans d’austérité de Sarkozy et son non-renouvellement d’un fonctionnaire sur deux dans les services de l’état n’arrivent pas même à compenser l’accroissement monumental des dépenses de fonctionnement des différentes collectivités territoriales, majoritairement sous contrôle de la gauche.

     

    Les socialistes n’ont pas même besoin d’être au pouvoir pour détériorer les finances du pays et ce pauvre Sarkozy n’arrive pas à écoper suffisamment vite. Si en plus des collectivités les socialistes contrôlent le pouvoir central, c’est de toutes parts que le navire France prendra l’eau : voilà pourquoi nous avons perdu notre triple A.

     

    Notre « gros malin neuneu » mérite bien son bonnet de triple Ane…

     

     

     

    DANTON

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    L’affaire Karachi implique la droite et fait la une de tous les medias de gauche. L’affaire des sous-marins de Malaisie implique la gauche et personne n’en parle.

     

    En 2002, la DCNI et Thalès ont vendu deux sous-marins de type Scorpene et un sous-marin de type Agosta à la Malaisie pour 1 milliard d’euros. La société Armaris, filiale commune, a été chargée de verser les commissions correspondantes. Trois commissions (suite…)

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  • L’affaire Karachi

    • 9 janvier 2012

     

    Dans cette affaire, comme dans toutes les affaires similaires à gauche comme à droite, deux catégories de commissions ont été négociées :

    –       Les commissions «officielles», versées aux négociateurs pakistanais et à certains amiraux,

    –       La commission «de service», versée à des intermédiaires tels Ziad Takieddine et Abdul Rahman, dont une partie est susceptible de revenir en rétro-commissions.

    (suite…)

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    Le trotskisme a pris naissance en 1917 avec la Révolution Russe, contrôlée initialement par Trotski et un petit groupe de juifs qui se disaient laïcs (entre 30 000 et 40 000 selon les sources). Trotski et ses sbires sont responsables des massacres et des famines de 1918 à 1922 qui ont fait plus de 10 millions de morts. Les trotskistes ont tué pendant les quatre premiers mois de leur règne plus de personnes que les Tsars pendant un siècle !

     

    Le but de Trotski était de remplacer le monde féodal russe par une société organisée en deux strates seulement : au sommet, une élite bolchévique, à la base, les ouvriers séparés en ouvriers agricoles et ouvriers industriels. Les ouvriers n’avaient aucun droit si ce n’est celui de recevoir de la nourriture en échange de leur travail. L’élite bolchévique était contrôlée par un petit groupe de juifs qui ont irradié les instances dirigeantes du parti, l’Armée Rouge, la Tcheka, ainsi que la puissante organisation régulant le travail des ouvriers et allouant les compensations travail-nourriture. Pendant cette courte période de quatre ans, toute la richesse de la noblesse russe, de la bourgeoisie, des propriétaires terriens (grands et petits) et du clergé, a disparu corps et biens. Une partie s’est retrouvée entre les mains des banques de Wall Street et une autre partie entre celles des sionistes.

     

    Après le décès de Lénine et l’éviction de Trotski, le trotskisme, qui a toujours été internationaliste, s’est propagé dans le monde grâce aux réseaux juifs. Cette organisation, jusqu’alors souterraine, a ressurgi en France en mai 68, à travers les syndicats étudiants et les médias qui les ont valorisés. Les disciples de Trotski se sont alors développés plus ou moins ouvertement et sont en grande partie responsables de l’élection de François Mitterrand, qui leur a fourni beaucoup de gages.

     

    A l’instar du pouvoir bolchévique, la secte trotskiste a deux composantes bien distinctes : au sommet, un petit groupe composé essentiellement de juifs penseurs et organisateurs, et à la base, les « idiots utiles » qui sont les bras et les jambes et forment les bataillons nécessaires pour faire masse. Seul le petit groupe des organisateurs mérite l’attention. Ils sont intelligents, cultivés, dévoués, souvent extrémistes et intolérants. Leur mouvance politique est l’extrême gauche car il est difficile de recruter des idiots utiles à droite. Au-delà et au-dessus de tout, ils sont animés par un très fort sentiment de supériorité par rapport à tous les autres groupes.

     

    Ce sentiment de supériorité et d’invulnérabilité qui caractérise une (faible) partie des juifs s’est transmis à nos juifs trotskistes comme un message biologique. L’origine de cette supériorité a déjà fait couler beaucoup d’encre partisane, parfois bien inutilement.  Il faut considérer les faits sans manipulation, à commencer par les écrits saints du peuple juif. Si la Torah est un livre en essence proche de la Bible, le Talmud, son interprétation, est le livre religieux le plus sectaire qui ait jamais existé. Le Talmud recèle une violence sans commune mesure avec celle – souvent décriée – du Coran et de la Charia. Le Talmud revendique ainsi le pouvoir absolu pour un peuple (15 millions d’êtres sur 7 milliards d’humains) choisi par Dieu pour soumettre le monde. Avec nos critères humanistes actuels, certains passages du Talmud sont totalement honteux. On peut citer, sans les reproduire in extenso, les préceptes suivants issus du Talmud :

    –       Le juif est un être supérieur,

    –       Les non juifs sont impurs,

    –       Les non juifs sont des animaux (Trotski l’avait bien compris),

    –       Les juifs peuvent voler les non juifs

    –       Les juifs ont le droit de mort sur les non juifs,

    –       Toutes les déviations sexuelles sont permises aux juifs.

     

    Aujourd’hui, une majorité des juifs est empêtrée dans ces textes immuables et stupides qui ne correspondent plus à rien. La parade trouvée par les rabbins a été de publier pour les goyims des textes tronqués, plus présentables, tout en continuant à enseigner aux enfants juifs les textes originels et complets. Heureusement, dans les faits, la grande majorité des juifs a adopté les préceptes du Nouveau Testament ou du Coran, en acceptant les lois des pays où ils habitent. De même, l’état d’Israël a adopté dans sa grande majorité la morale chrétienne. Néanmoins, cette croyance d’être le peuple choisi est profondément ancrée et elle a généré ce sentiment de supériorité d’essence divine, évitant ainsi tout jugement des autres chez un certain nombre d’adeptes.

     

    Ce sentiment est renforcé par le mythe, propagé par certains idéologues sionistes, de la pureté génétique du peuple juif. Dans les faits, le peuple juif au sens génétique du terme, n’existe plus depuis longtemps. La communauté des juifs riches, – et il y a un fossé infranchissable entre un juif riche et un juif pauvre -, a émigré et a créé avec succès des comptoirs, des tribus, des villes, des états, des royaumes. C’est le cas des royaumes juifs berbères ou khazars (8ème siècle), des colonies yéménites, chinoises, éthiopiennes ou indiennes. Durant 18 siècles, les juifs ont fait du prosélytisme et ont converti des peuples se mêlant à eux par métissage. La soi-disant pureté de la race préservée grâce aux règles de filiation n’est qu’une vieille lune remise au goût du jour par le sionisme au 19ème siècle. Les seuls qui pourraient se revendiquer de sang juif sont les palestiniens musulmans convertis de force et qui ont gardé des habitudes tribales de filiation. Et ce sont ceux qui sont exclus de l’état d’Israël ! Ce pâté d’alouette montre bien qu’il n’y a plus depuis longtemps de filiation génétique, nombre de chrétiens ou de musulmans ayant plus de sang juif que les juifs actuels. Les recherches génétiques forcenées conduites par certains fanatiques n’y changeront rien.

     

    Le sentiment de supériorité du peuple juif provient également de sa richesse. L’origine de cette richesse est historique. Durant des siècles, il était interdit aux chrétiens et aux musulmans de devenir banquiers et de prêter avec des intérêts. Ce sont quelques juifs qui ont tenu ce rôle considéré comme dégradant. Leur énorme fortune vient ainsi de très loin, du temps où ils étaient les banquiers des rois. Avec les républiques et les démocraties, le pouvoir des banquiers juifs a évolué et ils se sont spécialisés dans le financement des pays en guerre. Grâce à des mécanismes de compensation, leur argent passait les frontières et les tranchées et ils pouvaient s’enrichir en prêtant à un belligérant l’argent récolté chez son ennemi. C’est ce qui s’est passé en particulier durant la dernière guerre entre Wall Street et le régime nazi. C’est également ce qui explique que les bolchéviques, alors qu’ils refusaient de rembourser les prêts russes français, ont remboursé les dettes contractées auprès des banquiers de Wall Street.

     

    Les banquiers, qui se comportent comme des non-résidents et ne se sentent pas liés par les lois du pays dans lequel ils vivent, ont fait des émules. Les juifs trotskistes ont, au nom de la notion de peuple choisi, abandonné toute contrainte morale, juridique ou politique dans leurs pays d’accueil. Comme le disait Staline « leur seule limite est la peur ».

     

    C’est ainsi que s’est construite l’utopie bolchévique de Trotski, qui rêvait de conquérir le monde par les armes en utilisant « les idiots utiles » comme bataillon. Chez les trotskistes, tous les moyens sont bons pour atteindre le but recherché et ils sont passés maître dans la culture de la clandestinité, – on change son nom, on cache sa religion -, du secret, de l’hypocrisie, de la délation, de la traitrise, de la rumeur ou de l’escroquerie morale ou financière. Trotski n’a eu aucun problème moral à amener les ouvriers russes vers le stade d’avilissement qu’il considérait comme leur état naturel, celui de simples animaux.

     

    Les trotskistes ont cependant un mur infranchissable : leurs actions ne doivent pas nuire au Grand Projet sioniste. C’est ainsi que Trotski a laissé échapper le pouvoir vacant laissé par Lénine malade : il n’a pas voulu se mettre en première ligne et courir le risque que les massacres perpétrés par les bolchéviques ne soient un jour imputés aux juifs. Cette culture du secret est entretenue dans tous les domaines. Il faut à tout prix cacher ce qui pourrait provoquer une réaction de rejet dans la population. Ainsi les historiens français trotskistes s’appliquent-ils à réécrire l’histoire dans les manuels scolaires afin que les abominations de la période bolchévique soient passées sous silence. Cette culture du secret correspond à l’esprit des marranes, ces juifs convertis par l’inquisition et qui pratiquaient le judaïsme en cachette. Pour les marranes, la vraie foi doit toujours rester cachée, afin que la communauté soit préservée.

     

    Il existe un lien très fort unissant les juifs trotskistes à travers le monde et ce lien n’est certainement pas l’amour partagé de la démocratie, bien au contraire. Une majorité des penseurs trotskistes originels provient d’Europe centrale où le sionisme s’est construit au 19ème siècle, en priorité sur des thèmes extrémistes. Ils partagent entre eux trop de révolutions sanguinaires et trop de massacres pour que leurs liens soient purement philanthropiques. Leur but n’est pas d’instaurer la démocratie, mais une théocratie d’apparence laïque à leur service. Ils ont un sentiment divin de supériorité qui leur permet tout. Un système de secte comme il en existe de nombreuses dans le monde juif les unit dans le désir de contrôler le monde en utilisant les goyims comme chair à canon et les « idiots utiles » comme manifestants. Leur but est simple : détruire ce monde pour reconstruire un monde biblique où seul le peuple juif a tous les pouvoirs.

     

    Cette secte fait peser sur la France – terre de prédilection du trotskisme – une menace réelle et certaine exercée par un groupe externe au pays, sans foi (apparente) ni loi, qui s’est implanté comme un cancer et qui a lancé ses métastases sur les forces vives de la société : nos enfants à travers les enseignants et les manuels scolaires, l’appareil d’état à travers les fonctionnaires, l’appareil industriel à travers les syndicats, les partis politiques qui ne se rendent pas compte qu’ils sont noyautés. Le Grand Projet est leur seul but.

     

    DANTON

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    Ce texte est une simple analyse qui cherche à poser des questions sur un sujet peu débattu. Il ne s’agit pas d’un jugement.

     

    L’une des questions les plus troublantes concernant Trotski est de savoir comment il s’est transformé en boucher et comment il a entraîné avec lui toute une élite juive russe, pourtant élevée dans le respect d’autrui et dans la croyance en des idées démocratiques.

     

    Il ne s’agit en aucun cas de reprendre les vieilles thèses antisémites propagées par les nazis dans leur campagne antirusse, qui ont développé le concept de judéo-bolchévisme. Ce concept n’a jamais existé. Les juifs ont en fait été persécutés par les bolchéviques et ont eu à subir leurs exactions comme le reste de la population, bien souvent plus que le reste. Par ailleurs, le nombre de juifs impliqués dans le pouvoir bolchévique n’est qu’une infime minorité de la population juive de Russie.

     

    Ce ne sont pas les juifs de Russie qui sont en cause mais bien Trotski et sa clique. En effet, depuis la révolution d’Octobre et jusqu’à la maladie puis la mort de Lénine en 1923 / 1924, le système bolchévique a été totalement entre les mains de Trotski et d’une nomenklatura juive, malgré l’opposition de Staline qui finira par évincer Trotski et ses amis (Zinoviev, Kamenev, Radek) après la défaite de Varsovie et la mort de Lénine.

     

    Durant cette période, les juifs, qui représentaient moins de 3% de la population, étaient majoritaires dans l’essentiel des organes du pouvoir bolchévique :

    –       41 des 61 membres du Comité Central étaient juifs,

    –       23 des 36 membres de la direction de la Tcheka étaient juifs,

    –       l’Armée Rouge était totalement contrôlée par Trotski,

    –       Plus de 40 000 juifs avaient été promus par Trotski à des postes centraux : commissaires politiques, commissaires du peuple, procureurs, juges.

     

    Ces hommes, qui massacrèrent des centaines de milliers de russes et en affamèrent des millions, avaient été élevés religieusement, dans le respect des principes de la religion juive et étaient souvent cultivés. Ne leur a-t-on pas appris dès leur plus jeune âge que la politique n’est pas un jeu réservé à quelques privilégiés qui ont tous les droits et que tous les hommes sont égaux quelles que soient leur couleur, leur origine, leur capacité, ou leur religion et que la première règle est le respect des autres.

     

    En quelques mois et en gravissant les échelons hiérarchiques, ils sont devenus des monstres sans aucune pitié, sans humanité et qui à la fin avaient plaisir à assassiner et à massacrer. D’où leur est venu ce sentiment de supériorité absolue leur enjoignant d’organiser le monde selon un schéma simpliste et contre le gré du peuple, de tuer tous ceux qui résisteraient ?

     

    Comment une communauté formée dans le repenti, la solidarité, la volonté démocratique a-t-elle enfanté un tel phénomène ? C’est là la vraie question et elle reste pertinente aujourd’hui car le trotskisme – le véritable cancer de notre société – a continué à engendrer des monstres sous d’autres cieux que ceux de Russie. A vrai dire, depuis la dernière guerre mondiale, quasiment toutes les dictatures communistes ou maoïstes ont utilisé les mêmes méthodes que Trotski. On trouve des émissaires ou des disciples trotskistes auprès de tous les régimes communistes totalitaires : Chine, Vietnam, Laos, Cambodge, Corée du Nord, Ethiopie, Angola, Mozambique, Cuba, Pérou (sentier lumineux), Nicaragua (sandinistes),…

     

    Que se passerait-il s’ils pouvaient un jour accéder au pouvoir en France ? Est-ce si improbable ?

     

    Evidemment on peut considérer que les trotskistes français sont amollis par les facilités de la vie (ils sont souvent fonctionnaires et de famille bourgeoise), leur égo, leur hédonisme et affaiblis par leurs incessantes batailles internes. Mais ils ne sont pas si différents de ces juifs russes qui occupaient souvent des postes administratifs et étaient issus de la bourgeoisie.

     

    Ce qui est surprenant, c’est que le groupe formé autour de Trotski a développé entre 1918 et 1923 des liens très étroits avec, d’un côté, l’extrême gauche américaine et, de l’autre, les financiers et banquiers de New-York. La famille Bronstein finançait Trotski. De même, la Banque Kuhn, Loeb and Cy a d’abord prêté 20 millions de dollars or aux bolchéviques puis a reçu de Trotski quelques années plus tard plus de 450 millions de dollars or. Etait-ce un trésor de guerre ? Où est-il passé ? On peut aussi se demander ce qu’il est advenu de l’énorme richesse de la noblesse et de l’église russe, confisquée au fur et à mesure que les nobles et les ecclésiastiques étaient éliminés ? Le trotskisme n’a-t-il pas été un énorme hold-up international perpétré par des truands juifs ? Une chose est certaine : après Trotski, la Russie était complétement pillée. Tout avait disparu.

     

    C’est le cœur d’un problème qui doit être regardé en face. Pourquoi ces hommes devenus des animaux ont-ils été soutenus par la communauté financière de New York alors que celle-ci connaissait très bien la situation en Russie et les atrocités commises ? De même, l’admiration de certains trotskistes français pour ces assassins judéo-trotskistes est tout à fait suspecte alors qu’eux aussi connaissaient la réalité des massacres bolchéviques. Seraient-ils prêts si les circonstances s’y prêtaient à reproduire cette effroyable réalité, avec la même absence d’état d’âme et d’humanité que leurs aînés ? Cela peut paraître bien improbable mais qui se souvient que Louis Aragon avait de son temps appelé à la création d’une police politique communiste en France ? Qui se souvient qu’Henri Barbusse, Prix Goncourt, n’hésita pas, moyennant finances, à encenser le régime stalinien. Encore récemment, Danièle Mitterrand chantait les louanges de Castro, le boucher de Cuba.

     

    On ne peut qu’être frappé par le terrible contraste qui existe entre la place accordée dans la mémoire collective aux crimes du nazisme et aux crimes du communisme. Alors que les noms de Himmler ou d’Eichmann sont connus dans le monde entier comme les symboles de la barbarie contemporaine, ceux des dignitaires de la Tcheka comme Dzerjinski, Iagoda ou Iejov sont ignorés su grand public. Quant à Lénine, Trotski, Mao, Hô Chi Minh ou même Staline, ils ont toujours droit à une surprenante révérence. Pourquoi cette incapacité à placer au centre de l’analyse du communisme, le crime, le crime de masse, le crime systématique, le crime contre l’humanité ? Sommes-nous face à une impossibilité de comprendre ?

     

    Les discussions stériles et partisanes sur le judéo-bolchévisme ont été l’arbre qui a caché la forêt car les vraies questions sont les suivantes :

    –       Pourquoi Trotski et sa bande sont-ils devenus des monstres ?

    –       Quels ont été leurs liens avec la finance internationale et où sont passées les énormes richesses pillées ?

    –       Est-ce un terrible dérapage d’un groupe isolé ou une pathologie de la destruction sciemment organisée ?

    –       L’esprit de supériorité qui caractérise les disciples actuels de Trotski peut-il engendrer à nouveau les mêmes atrocités?

     

     

     

    DANTON

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    Un trotskiste a la mémoire sélective. Il retient de Trotski le chef de guerre, l’intellectuel de la révolution d’Octobre, l’ennemi de Staline. Il passe sous silence que Trotski a réprimé le soulèvement des marins de Kronstadt, a préconisé la Terreur Rouge, a organisé la Tcheka et ses massacres, et a défendu le terrorisme.

     

    Trotski jouit en France d’une aura surprenante et totalement usurpée. Les trotskistes ont réussi à introduire une distinction entre le stalinisme et le communisme. Un grand nombre d’intellectuels de gauche ont une vision trotskiste de l’histoire : Staline aurait été un tyran sanguinaire qui a dévoyé la doctrine communiste humaniste prônée par Lénine et Trotski.

    (suite…)

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  • Le vrai visage de Trotski

    • 11 décembre 2011

     

    Trotski jouit en France d’une aura surprenante et totalement usurpée. Les trotskistes ont réussi à introduire une distinction entre le stalinisme et le communisme. Un grand nombre d’intellectuels de gauche ont une vision trotskiste de l’histoire : Staline aurait été un tyran sanguinaire qui a dévoyé la doctrine communiste humaniste prônée par Lénine et Trotski.

     

    Rien n’est plus éloigné de la vérité. Trotski a été tout aussi sanguinaire que Staline et s’il n’a que quelques millions de morts à son actif – contre une vingtaine de millions pour Staline – c’est uniquement parce qu’il a disposé de moins de temps.

    (suite…)

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    Qui peut mieux décrire Hollande que ses « amis » socialistes ? Les surnoms dont il a été affublé en disent long sur sa perception au sein de sa propre famille politique. Souvenez-vous de ces quelques perles :

    –       Guimauve le Conquérant (Guillaume Bachelay),

    –       Mollande, le fromage à pâte molle (Martine Aubry),

    –       Flamby (Arnaud Montebourg),

    –       Fraise des Bois (Laurent Fabius). (suite…)

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    En prenant le pouvoir en 1981, les socialistes français ont durablement abimé l’un des ressorts les plus précieux de notre pays : le goût pour l’effort et le sens du devoir. Deux lois ont suffi pour faire dérailler le pays : les 35 heures et la retraite à 60 ans. L’effet dévastateur de ces lois est largement sous-estimé. Les effets mécaniques ont été dans une large mesure corrigés par Sarkozy mais ces lois ont changé les valeurs d’une grande partie des français. Pour beaucoup de français, ce n’est plus le résultat de leur travail qui compte, mais le fait d’avoir effectué le nombre d’heures légal. Qu’importe que le but ne soit pas atteint, pourvu que le temps de présence soit respecté. Ce phénomène est dévastateur car il a cassé le dynamisme du pays et a rongé sa compétitivité. Sarkozy a voulu changer cet état d’esprit en prônant le travailler plus pour gagner plus mais il n’a fait qu’érafler la surface de la plaie car le mal est trop profond.

    Comme vient de nous le dire Jin Liqun, un haut responsable chinois : « Que l’Europe commence par réviser ses lois induisant la paresse ». Chacun aura compris qu’il parlait de notre loi sur les 35 heures, mondialement connue tant elle paraît absurde hors de nos frontières. Ce Chinois a raison : de nombreux français ont hélas perdu le goût de l’effort.

    La racine du mal est simple à identifier : les socialistes ont inversé les valeurs dans notre pays, en faisant passer les droits avant les devoirs. Le droit à ne travailler que 35 heures ou à partir à 60 ans est plus important que le devoir d’accomplir son travail et de mener jusqu’au bout la tâche pour laquelle on est payé. Faire son travail ne consiste plus à atteindre un but, c’est juste faire un nombre d’heures suffisant. Plus grave encore : avec cette inversion des valeurs, la motivation au travail s’en est allée. Les personnels dépriment, se mettent en arrêt maladie et travaillent encore moins. C’est un cercle vicieux auquel il est difficile d’échapper.

    Ce mal trouve ses racines dans l’essence même du socialisme à la française qui a fait de l’égalité une vertu cardinale et de la redistribution l’oméga de sa politique, en oubliant que les richesses doivent être créées avant d’être distribuées. On n’accroît pas les biens en les divisant et on n’apporte pas durablement la prospérité au pauvre en la retirant au riche.  Plus profondément, l’égalitarisme doctrinaire prôné par les socialistes va à l’encontre des ressorts intimes de la motivation humaine pour qui le dépassement de soi est essentiel. Pour comprendre ce propos, voici une petite leçon (fictive) de socialisme.

    « Un professeur d’économie dans un lycée annonce fièrement qu’il n’a jamais vu un seul de ses élèves échouer, à l’exception d’une année, où ce fut la classe entière qui a connu l’échec. Cette classe était entièrement convaincue que le socialisme était une idéologie qui fonctionnait, et que personne n’était ni pauvre ni riche ! Un système égalitaire parfait. Le professeur dit lors : “Ok donc, nous allons mener une expérience du socialisme dans cette classe. A chaque contrôle, on fera la moyenne de toutes les notes et chacun recevra cette note. Ainsi personne ne ratera son contrôle et personne ne caracolera en tête avec de très bonnes notes.” Après le 1er contrôle, on fit la moyenne de la classe et tout le monde obtint un 13/20. Les élèves qui avaient travaillé dur n’étaient pas très heureux au contraire de ceux qui n’avaient rien fait et qui, eux, étaient ravis. A l’approche du 2ème contrôle, les élèves qui avaient peu travaillé en firent encore moins tandis que ceux qui s’étaient donné de la peine pour le 1er test décidèrent de lever le pied et de moins travailler. La moyenne de ce contrôle fut de 9/20! Personne n’était satisfait. Quand arriva le 3ème contrôle, la moyenne tomba à 5/20. Les notes ne remontèrent jamais, alors que fusaient remarques acerbes, accusations et noms d’oiseaux, dans une atmosphère épouvantable, où plus personne ne voulait faire quoi que ce soit si cela devait être au bénéfice de quelqu’un d’autre. A leur grande surprise, tous ratèrent leur examen final. Le professeur leur expliqua alors que le socialisme finit toujours mal pour une raison simple : quand la récompense est importante, l’effort pour l’obtenir est tout aussi important, tandis que, si on confisque les récompenses, plus personne ne cherche ni n’essaie de réussir. Les choses sont aussi simples que cela».

    Comme l’a écrit Adrian Rogers dans les années 30 : « Tout ce qu’un individu reçoit sans rien faire pour l’obtenir, un autre individu a dû travailler pour le produire sans en tirer profit et tout pouvoir ne peut distribuer aux uns que ce qu’il a préalablement confisqué à d’autres ».

    La fonction publique a été la première atteinte par le mal.

    Qu’ont fait les socialistes pour se concilier un électorat docile et in fine acheter des voix ? Ils ont embauché 1,4 million de fonctionnaires et ont dilué le travail de la fonction publique. La France était déjà suradministrée en 1981. Le seul moyen d’employer autant de nouveaux fonctionnaires était de partager le travail. Citons un exemple parmi des milliers : l’informatisation a considérablement simplifié le travail du ministère des finances mais les agents sont toujours aussi nombreux. Chaque français peut constater par lui-même que les effectifs de certaines mairies sont devenus tellement pléthoriques que de nombreux employés viennent faire leur temps de présence sans avoir aucune tâche utile à accomplir.

    Auparavant le travail consistait en un but à atteindre pour chacun. Cela s’appelait le devoir et plus précisément dans le cas des fonctionnaires, le devoir d’état, un terme disparu. Chacun, à son niveau, avait une mission et allait jusqu’au bout pour la remplir quelles que soient les difficultés et quel que soit le temps qu’il fallait y consacrer. On travaillait le soir chez soi ou les week-ends et on était heureux d’avoir fait correctement son travail. En divisant le travail pour en donner aux nouveaux arrivants, les socialistes ont fait du respect de la durée du travail le principal but à atteindre.

    Prenons l’exemple d’un enseignant du primaire dont le devoir est d’apprendre à lire et à écrire à sa classe. Auparavant, quand des élèves avaient des difficultés, l’instituteur les aidait durant les récréations ou après les cours. Il considérait que c’était son devoir et se sentait responsable de l’échec de ses élèves, échec qu’il voulait absolument éviter. Il était fier de son travail, mesuré au succès de ses élèves. Aujourd’hui, notre instituteur – devenu professeur des écoles – se sent exonéré de toute performance, dès lors qu’il a fait ses 14 à 18 heures théoriques par semaine. Pire : ceux qui se sentent concernés par la réussite de leurs élèves et qui sont prêts à travailler plus – il est reste heureusement – se font rappeler à l’ordre par les syndicats. La novlangue syndicale n’a qu’une doctrine : si les élèves ne suivent pas c’est parce qu’il n’y a pas assez d’effectifs. Il ne faut surtout pas travailler plus pour aider les élèves ! Pour les syndicats, les enseignants n’ont qu’un devoir : celui d’utiliser leurs droits. Ils n’ont qu’un but : accroitre le nombre d’enseignants.

    Prenons un autre exemple : celui d’un juge d’instruction. Faire son travail convenablement nécessite des heures d’analyse de dossiers souvent très complexes. C’est fatigant et cela prend beaucoup de temps, bien plus que ce que la durée légale hebdomadaire n’autorise. Alors beaucoup de magistrats, poussés là aussi par leurs syndicats, choisissent une autre voix, plus simple et plus expéditive : obtenir des aveux par le harcèlement moral et physique des prévenus en abusant de l’usage de la prison préventive. Si cela ne suffit pas, on organise des fuites dans la presse pour accroître encore la pression. Que ces méthodes bafouent les droits les plus élémentaires des justiciables importe peu. L’essentiel est d’occuper son temps de travail de 25 heures par semaine et de prendre ses 11 semaines de congés payés annuels. Pas assez de magistrats en France ? Allons-donc ! Si tous les magistrats travaillaient ne serait-ce que 40 heures, nous en aurions bien assez.

    Prenons un troisième exemple, d’une nature différente : le développement industriel de la France. La perte du goût de l’effort s’est propagée au plus profond de l’état et a été amplifiée par la perte de technicité de l’administration. Souvenez-vous de l’ex-commissariat au plan qui a conçu tous les grands programmes de développement d’infrastructure et les grandes avancées technologiques de la France. La prospective était alors aux mains des ingénieurs (X-Mines, X-Ponts, Centraliens, Arts et Métiers) qui comprenaient ce qu’ils faisaient et avaient une vision à 30 ans pour le pays. En 1981, un syndicaliste, Hubert Prévost, a été nommé. Son seul mérite était d’être socialiste et d’avoir fait l’ENA. Tout s’est alors petit à petit délité. Les socialistes ont amorcé la pompe et les énarques ont transformé un instrument de développement économique et industriel en une bureaucratie inutile et inefficace qui a été supprimée en 2005. Avec le Grand Emprunt, Sarkozy essaye de relancer des voies de développement et d’investissement pour le futur en court-circuitant une partie de l’administration et de son énarchie, mais la résistance est forte.

    Et que dire de la transformation des DRIRE, dépendant du ministère de l’industrie et véritables soutiens des industriels, en DREAL, avant tout au service de l’écologie et dont le but est de s’assurer que les innombrables procédures visant à préserver l’environnement sont scrupuleusement respectées. Qu’importe si l’activité industrielle se développe ou non. Il vaut mieux délocaliser des emplois en Chine que déplacer une colonie de crapauds. Les délais de cette administration – jadis une des plus efficaces de France – sont devenus rédhibitoires pour tout industriel. Pour obtenir les permis de construction d’un site industriel, il faut 5 mois en Chine, 8 mois aux USA et plus de 18 mois en France.

    Il est loin le temps où Napoléon avait organisé une administration exceptionnelle qui était un exemple pour le monde entier. Les socialo-fonctionnaires sont passés par là.

    Bien sûr il y a encore une France, dans laquelle on ne peut pas faire semblant de travailler pour gagner sa vie. Un chef d’entreprise qui a des résultats négatifs fera faillite, même si son temps n’est pas compté. Un commerçant qui ne travaille pas au moins 60 heures par semaine met vite la clef sous la porte. Un ouvrier ou un employé d’un groupe privé qui n’obtient pas les résultats qu’on attend de lui finira par être licencié. Un professionnel libéral qui ne crée pas sa propre clientèle ne peut survivre.

    Malheureusement, en France aujourd’hui, les forces vives qui créent la richesse de la nation sont de plus en plus isolées. La grande majorité de la fonction publique n’en fait plus partie et dans le secteur privé, tout est fait pour que la compétitivité et le dynamisme soient cassés : les syndicats et les inspecteurs du travail sont là pour noyauter le système et empêcher ceux qui le voudraient de travailler et de réussir.

    Sarkozy a eu un tort : il n’a pas compris que ses méthodes à l’américaine, son énergie et sa réactivité ne servaient à rien pour réveiller le corps mou et flasque que les socialistes (aidés par Chirac) lui avaient laissé. Appliquer un électro choc à une méduse ne la transforme pas en dauphin !

    Sarkozy a pensé que sa volonté de changement serait suivie par le pays mais le poison instillé par les socialistes est trop puissant. Il veut maintenant mettre la France dans les pas de l’Allemagne – à juste titre – mais l’Allemagne n’a pas ces millions d’heures perdues et stériles d’emplois publics inutiles. En Allemagne la responsabilité est à tous les niveaux et la volonté est un moyen de succès. Et surtout, les allemands sont fiers de leur industrie et ils la défendent. Les Français eux voudraient être fiers de leurs équipes de foot ou de rugby.

    Citons à nouveau Adrian Rogers : « Quand la moitié d’un peuple croit qu’il ne sert à rien de faire des efforts car l’autre moitié les fera pour elle, et quand cette dernière moitié se dit qu’il ne sert à rien d’en faire car ils bénéficieront à d’autres, cela mes amis, s’appelle le déclin et la fin d’une nation ».

     

    DANTON

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    Traditionnellement les fonctionnaires représentaient l’état et étaient solidaires de ses décisions. Ils étaient équitablement répartis entre droite et gauche. La gauche représentait avant tout le monde du travail et défendait ses droits.

    Tout ceci a été bouleversé par la prise progressive du pouvoir par les fonctionnaires, orchestrée par les socialistes : une nouvelle caste de socialo-fonctionnaires a émergé et a confisqué le pouvoir. Ce putsch qui ne dit pas son nom s’est déroulé en plusieurs actes. Tout a commencé avec l’enseignement.

    (suite…)

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