« La Vérité, l'âpre Vérité »

Petite histoire de l’Ecologie

  • 16 mai 2011

1/ La Mère Terre, ou l’écologie originelle

L’écologie est un phénomène qui vient du fond des âges. Les cycles générés par le Père Soleil, la Mère Terre et la Fille Lune étaient à l’origine incompréhensibles et redoutés, surtout lorsque les récoltes étaient catastrophiques. Ces astres étaient vénérés comme des Dieux aux pouvoirs absolus sur la vie humaine. C’est pour attirer leur bienveillance que les sacrifices humains se sont développés. Souvent les êtres les plus chers étaient sacrifiés afin que l’offrande ait plus de valeur. Ces pratiques se sont perpétués jusqu’à des siècles récents, notamment en Amérique du Sud, en Afrique et en Asie.

Avec l’avènement des religions humanistes mono ou polythéistes, l’homme a remplacé la nature et le but est devenu le développement social et économique du monde. Les civilisations qui avaient basé leur subsistance sur la bienveillance de la nature à travers les sacrifices humains ont été balayées par le progrès. Dans le subconscient collectif de certaines communautés, en particulier en Europe du Nord ou chez les peuples Germains, une certaine idée de la Terre Nourricière a néanmoins subsisté. Cette intuition enfouie peut être facilement exploitée, comme le font les sectes, en cas de difficultés et de troubles collectifs, ou de mal être et de doute individuel.

2/ Les origines malthusiennes de l’écologie

Un pasteur anglais de la fin du 18ème siècle – Thomas Malthus –  a théorisé un concept de surpopulation autodestructeur. Son raisonnement était basé sur deux hypothèses : la population de la terre croît exponentiellement alors que les ressources alimentaires croissent linéairement. Il ignorait ainsi totalement le rôle du progrès technologique. Sur ces bases, il a estimé que la population mondiale ne pouvait dépasser 500 millions d’humains.

Sa théorie s’est vite répandue et a été fermement soutenue par la noblesse de terre qui craignait que le développement scientifique et technique ne bouleverse l’ordre oligarchique établi. Ce courant a milité pour une réduction massive de la population mondiale, en particulier dans les pays sous développés. On lisait alors que « le droit de donner la vie n’est pas un droit naturel absolu ». Le mouvement écologiste trouve là ses origines.

Les classes dirigeantes occidentales, issues à l’origine des grandes fortunes terrestres, ont longtemps coopéré afin de limiter et de sélectionner la croissance des populations, sans évidemment l’avouer trop ouvertement :

–        une guerre par génération permet de réguler l’expansion galopante des êtres humains,

–        l’utilisation de paysans et de soldats coloniaux comme chair à canon permet de réduire la croissance de ces populations de « seconde zone »,

–        les maladies sont des moyens d’extermination bon marché et ciblés sur certaines populations : la rougeole ou la variole contre les Indiens, le Sida en Afrique.

Dans leurs versions extrêmes, ces théories se sont développées principalement dans le monde anglo-saxon avec une trilogie malthusianisme – eugénisme – racisme.

Depuis les années 45, l’amélioration rapide de l’enseignement et l’accroissement des niveaux de culture et de connaissance ont fait capoter ce bel édifice. Les nouvelles générations d’ingénieurs, de scientifiques et de techniciens ont créé une nouvelle élite technologique, contre laquelle s’est brisé le Malthusianisme et sa négation du progrès.

Le mouvement écologique issu du malthusianisme est alors devenu souterrain. Il s’est divisé en chapelles et a cherché à utiliser la manipulation des masses pour reconquérir son pouvoir perdu. La science, le progrès social et technique et l’humanisme sont devenus les ennemis à abattre. L’écologie s’est mutée alors en un royaume de la manipulation et du mensonge où les individus les plus faibles et mal dans leur peau étaient attirés, comme dans une secte, par la peur et le catastrophisme. Les démons du malthusianisme et de l’eugénisme n’ont pas disparu mais ils se sont cachés car ils n’étaient plus fréquentables.

 

3/ La naissance de l’écologie moderne

L’écologie souterraine a ressurgi il y a une cinquantaine d’année sous la forme d’initiatives plus ou moins visibles, plus ou moins connues, plus ou moins violentes.

Le Club de Rome (1968), créé par Aurelio Peccei et par d’autres personnalités – Alexander King (OCDE), Hugo Thiemann (Nestlé), Jean Monnet, Dennis Gabor (Nobel de Physique), Saburo Okika (Fond d’aide du Japon) -, a remis au goût du jour les limites de Malthus sur la population humaine. Certains de ses membres ont tenu des propos violents. Ainsi Aurelio Peccei a-t-il qualifié l’homme de « dragon malfaisant » ou de « cancer et parasite de la planète ». Toutes les études et prédictions du Club de Rome se sont révélées totalement fausses. Il reste néanmoins une référence idéologique avec sa promotion d’un retour aux siècles obscurs, i.e., sans progrès technologique, par le développement du mouvement « Nouveau Moyen Age ». Des études scientifiques ont depuis lors montré qu’avec l’utilisation des moyens agricoles et industriels actuels, la limite naturelle du développement humain était – horreur absolue ! – de 50 milliards.

Le projet MK-Ultra des services secrets américains et britanniques, inspiré par Aldous Huxley et HG Wells, avait pour but l’abrutissement des masses par la légalisation des drogues et l’utilisation de la télévision et des sports de masse.

La Peace Pledge Union de Bertrand Russell, issu d’une grande famille anglaise, proposait le bombardement nucléaire préventif de l’URSS afin d’établir un ordre mondial sous le contrôle de l’ONU et d’abolir les états-nations.

Le World Wildlife Fund (WWF) et son organisation sœur, l’IUCN, ont été créées par le Prince Bernard de Hollande, aux sympathies nazies notoires. Selon notre bon prince « le progrès technique, industriel et économique, de même que le développement social et politique, menacent la Nature dans toutes les régions du monde ». Lui ont succédé à la tête de WWF, John Hugo Loudon (Shell, Ford, Chase Manhattan) puis le prince Philip d’Angleterre, lui aussi à affinité nazie, qui disait vouloir se réincarner dans un virus mortel pour réduire la population mondiale. La branche allemande du WWF a longtemps été contrôlée par d’anciens nazis et leurs descendants. Dans la même mouvance, le groupe Bilderberg réunissait périodiquement certains maîtres du monde (essentiellement anglo-saxons) pour débattre de sujets tels la dénatalité, l’eugénisme et la création d’un gouvernement mondial.

La Société Post Industrielle, lancée par Lyndon Johnson (l’antithèse de Kennedy), préconisait des actions malthusiennes, coordonnées avec les russes, définies au sein de colloques sur la croissance. Le Général de Gaulle a combattu violemment ces idées allant contre la souveraineté nationale en s’appuyant sur le développement industriel et l’indépendance militaire. Peu de gens ont compris cet aspect de l’engagement du général de Gaulle au service d’une société de libertés.

Greenpeace (1975) a été créée au Canada par des déserteurs américains de la guerre du Vietnam et autres réfractaires. L’organisation a été infiltrée dès l’origine par le KGB et utilisée principalement comme élément de déstabilisation de l’OTAN par l’URSS, avec par exemple la promotion d’actions contre les essais nucléaires aux iles Aléoutiennes ou à Mururoa.

Le Pessimisme Mystique est introduit en 1975 par Margaret Mead puis repris par James Lovelock qui invente le concept de Gaïa selon lequel la terre est un être vivant. Les thèmes du trou dans la couche d’ozone ou du réchauffement climatique sont inspirés de cette mouvance. Elle a également donné naissance, notamment aux Etats-Unis, à un ensemble de pseudos-sectes telles « le Temple de la Compréhension », « Saint John le Divin de New-York » ou le mouvement « New Age », médiévaliste et satanique. Dans beaucoup de ces mouvements, l’écologie semble être un alibi visant à cacher un but purement mercantile.

Les Amis de la Terre, mouvement créé en 1969 par David Brownur, organise des manifestations étudiantes comme le « Jour de la Terre », mais réussit également à imposer au Parlement le « National Environmental Policy Act » avec la complicité de certaines élites politiques et financières. Soutenu par Cyrus Vance ou Paul Volker, ce mouvement préconise la réduction de la population de la terre à 2 milliards d’humains. Il ne dit pas ce qu’il advient des 4 milliards en trop ! Dans la même veine idéologique, le Président Carter a commandé le rapport « Global 2000 » qui préconise le contrôle impératif des naissances, le non développement technologique du tiers-monde et des réductions massives de consommation énergétique.

 

4/ L’écolo-terrorisme et le rôle de l’URSS

L’Internationale Verte lancée en 1980 avec la conférence de Toronto prêche la peur, le catastrophisme et le pessimisme culturel. Elle a conduit au slogan des Verts Allemands « Ich habe Angst » (« j’ai peur »).

C’est à ce moment qu’Andropov, chef du KGB, constatant le recul de l’impact des idées communistes en Occident, décide de noyauter les mouvements Verts pour en faire une nouvelle armée rouge de l’ombre. La Stasi est chargée d’infiltrer les mouvements écologiques et de nombreux personnels spécialisés passent alors à l’Ouest. Il s’agit à l’origine de combattre l’Initiative de Défense Stratégique (IDS) de Ronald Reagan – surnommée Guerre des Etoiles – qui terrifiait l’URSS. Des actes de violence jusqu’alors inconnus se produisirent en Europe, tels les assassinats du Général Audran (France), du Professeur Beckurst (RFA) ou du Général Giorgieri (Italie).

En RFA, l’Ecolo-Terrorisme voit le jour avec une alliance obscure entre Verts radicaux, Maoïstes, Trotskystes, nostalgiques du Nazisme, le tout encadré par des agents de la Stasi. La « Fraction Armée Rouge (FAR) » est créée avec à son « actif » les assassinats de Bubak, Ponto, Schleyer et l’instauration de la « Guerre Irrégulière Permanente ». En 1987 uniquement, il y a eu en RFA 16,617 actes criminels contre la Sécurité de l’Etat alors que le pool de militants verts radicaux mobilisables était estimé à 10,000 individus.

Summum de la lutte, en 1986 se tient à Francfort le « Congrès Anti-impérialiste », rassemblant, toujours sous le contrôle de la Stasi, les principales organisations terroristes mondiales : FLP, IRA, FAR, ETA, Action Directe, Brigades Rouges, Bureau du Peuple Lybien,… L’un des objectifs de la Stasi était alors de lutter contre le projet d’implantation de missiles de croisière par l’OTAN en Allemagne. La Stasi lance alors à cette occasion le nouveau slogan des Verts allemands « Mehr Rot als Tot » (plutôt rouge que mort).

Tout ceci s’arrête avec la chute du Mur de Berlin en 1989. La Stasi avait bien travaillé mais les démocraties, tirées par Ronald Reagan, l’ont fait échouer.

5/ Les dérives écolo-malthusiennes

Les verts se gardent bien aujourd’hui de revendiquer toute affiliation trop marquée avec le malthusianisme car celui-ci a conduit aux pires dérives du 20ème siècle.

Le nazisme et la théorie de l’Espace Vital prônait l’élimination de ceux qui ne correspondaient pas aux canons de la race aryenne et qui « polluaient » la terre. On retrouve là les vieux rêves des peuples germaniques sur la Mère Terre.

Mao a organisé la famine pour réduire la population. Il a engendré le plus grand développement du cannibalisme jamais connu. Entre le Grand Bond en Avant et la Révolution Culturelle, c’est 40 à 60 millions de chinois qui ont été exterminés. Comme Mao l’a avoué, la production d’acier à outrance a été un moyen et non un but du grand bond. L’objectif de Mao était de réduire la population de 300 millions. Sur le long terme il a pratiquement réussi car on estime que la population actuelle de la Chine est inférieure de près de 400 millions aux estimations avancées en 1950. Il est vrai que la politique de l’enfant unique instaurée par les successeurs de Mao a été efficace. Elle risque de transformer la Chine en un asile de vieillards.

Enfin, Pol Pot et les Khmers Rouges ont fait mieux que leurs inspirateurs puisqu’ils ont tué 2 millions de cambodgiens sur une population de 6 millions, avant que l’armée vietnamienne ne les stoppe.

Où sont ceux qui en 1968 avaient le petit livre rouge comme bible et Mao et Pol Pot comme modèles ?

6/ L’écologie en France

La France écologique des années 60 est bien plus molle alors que son homologue allemand. Le thème du Retour à la Terre est moins porteur en France car il fleure le pétainisme. De plus le Général de Gaulle a mené un combat sans merci contre la domination du monde par les anglo-saxons et leurs lobbies financiers, industriels ou écologiques. Le malthusianisme est néanmoins bien ancré dans les mouvements écologiques français même si ceux qui le revendiquent ouvertement sont peu nombreux. La tendance Maoïste est elle bien présente notamment au sein du mouvement de Mai 68. C’est un courant qui se veut rival du communisme et du trotskisme, jugés trop productivistes. Le terrain a été préparé par Ivan Ilitch, Bertrand de Jouvenel ou Denis de Rougemont. Les combats menés alors (Le Larzac ou Lip) semblent un peu dérisoires par rapport à ceux de la mouvance verte internationale.

Les idées écologiques ont peur de s’exhiber et le combat devient de plus en plus personnalisé. Lemoyen d’action principal reste la manipulation et l’action souterraine.

On a pu ainsi assister à un financement des écologistes par les pétroliers et les gaziers afin de contrebalancer l’influence du nucléaire. Puis le nucléaire a retrouvé les faveurs de certains écologistes dont le cheval de bataille principal était devenu la lutte contre le réchauffement climatique. Evidemment depuis Fukushima, nos girouettes écolos ont encore tourné.

L’image est également largement utilisée dans la stratégie de manipulation des masses. Les films écolos se multiplient, dont certains ne sont qu’une accumulation de grossiers mensonges, tels le film d’Al Gore ou plus récemment le film GasLand. A noter que le « combat » écologique d’Al Gore a gagné lui a rapporté au fil des années plus de 600 millions de dollars.

Le contexte politique français reste marqué par deux constances :

–        Les batailles continues entre les chefaillons verts : quand elles semblent s’arrêter, c’est uniquement pour mieux recommencer. Cette lutte permanente d’égos n’est pas un hasard : tels les groupuscules trotskistes, les verts sont par nature intolérants aux idées des autres et totalement intransigeants avec les leurs. Résultat : ils se battent en permanence sur des sujets dérisoires,

–        La nécessité pour les socialistes, en Région ou dans les villes comme Paris ou Lyon, de passer sous les fourches caudines des verts pour contrôler les exécutifs.

Aujourd’hui les verts ne semblent plus vouloir servir d’appoint mais entendent exercer une partie du pouvoir, en utilisant leur capacité de nuisance à gauche. Les Verts – les plus radicaux, qui sont ceux qui ont le vrai pouvoir – continuent néanmoins à avancer masqués et très peu osent avouer leurs motivations profondes. L’écologie politique est en effet malthusienne par nature et les Français, peuple (encore un peu) cartésien, ne sont pas ouverts à ce genre de stupidité. La décroissance est le nom politiquement correct du malthusianisme, mais les Français font toujours des enfants.

Les écologistes, ne pouvant avouer leur idéologie, sont devenus un parti à thème. On cherche à rassembler le maximum de « lemmings » bien dociles sur différents thèmes : le nucléaire, les gaz de schistes, la forêt amazonienne, la voiture électrique, les éoliennes, le photovoltaïque,… Le but est de recueillir des voix. Ils s’inspirent en ce sens de leurs partenaires socialo-populistes et ont créé l’écolo-populisme.

L’écologie est devenue en France un immense foutoir où les « lemmings » sont canalisés par la peur, le désespoir, la sectarisation, la manipulation, le mensonge, l’interdit, la condamnation, le tabou, l’exclusion.

Le choc des egos, la soif de pouvoir, la nuisance vis-à-vis des socialistes sont certes de bonnes et visibles motivations. Mais est-ce suffisant pour  un parti qui se veut la conscience de la France. Quelle rigolade !

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9 commentaires actuellement

  1. Moi je crois au paradis

  2. Quelqu’un qui réfléchit. Pourquoi alors a tu besoin de lire Orwell? je n’en suis pas moins d’accord avec ta conclusion, on ne peut faire d’écologie dans monde ou l’on pronne la croissance perpétuelle.
    Commençons par supprimer les allocations du 3ème et des suivants ça sera un bon début et fera faire énormément d’économie.

  3. @NON !!!

    C’est vrai qu’il ne faut pas confondre écologie avec écologisme.

    D’une manière simple les Écologistes une bande organisée qui essaie de s’emparer du pouvoir à tout prix utilise une réalité incontournable et qui donne vite mauvaise conscience à n’importe qui si opposant :

    NOUS NE POUVONS CONTINUER A POLLUER LA PLANÈTE et laisser une poubelle à nos descendants.
    Fort de cet axiome (comme en matière de sécurité routière multiplier le racket des automobilistes,délinquants routiers, en utilisant le nombre de tués sur les routes pour faire taire tout le monde) ils se servent de ce principe pour TAXER un maximum les contribuables ..la taxe écologique étendue à tout rapporte des sommes fabuleuses et lorsque l’on fait rentrer de l’argent dans les caisses de l’Etat on est écouté…

    Les Ayatollahs écologistes en racontent de plus en plus il faut s’emparer de ce secteur juteux….
    Au cours d’une émission TV j’ai entendu une écologiste dire que ce marché de l’écologie représentait une manne pour l’économie interne moribonde de la France….et on en invente à qui mieux mieux pour faire des travaux d’isolation des maisons des immeubles etc..à des prix faramineux…
    dans quelques temps les petits propriétaires ne pourront remettre aux normes écologiques leur modeste demeure et seront obligés de vendre !!!

    Il faut avant toute messe paroissiale sur le sort de la Planète mettre en avant l’argent que cela génère et donc le pouvoir de ceux qui dirige cette nouvelle arnaque au nom de la sainte sauvegarde de notre bonne vielle Terre..

  4. Dès que les écologistes n”auront plus besoin d’électricité, les centrales nucléaires pourront être arrêtées.

  5. @Esope le fabuliste ou la plante folle d’altitude, ou vous prenez pour un dieux de l’olympe échapper
    d,un asile;connaissait vous le test du miroir? je suis sur oui car je ressent chez vous du moins dans
    votre écrit, une faiblesse avec des tourments d’une grande complexité, arrêté de ménager la chèvre
    et le choux ,et cela ira mieux pour vous, pour le test du miroir les primates en ont horreur les chiens ces
    leur sens de l’odorat qui fait que cela ne leurs conviend pas et vous quel est le votre !!!!!!!!!

  6. Curieux ces gens qui critiquent tout et probablement sont eux même incapable de produire autre chose que des invectives; Ce qu’ils voient probablement dans les autres, comme dans un miroir, c’est tout ce qui en eux même est médiocre. Arrêtons la séance de psy.
    Pour les lecteurs lucides, ils savent que rien n’est jamais tout noir ou tout blanc, que les jugements hâtifs à l’emporte pièce sont rarement confirmés par l’histoire, que l’écologie est d’abord l’étude de la science que la vie.. Ne confondons pas l’écologisme avec l’écologie, le social avec le socialisme, etc..

  7. En ce qui concerne EELV je pense également qu’il s’agit d’écolos bobos qui se servent de la sensibilité écologiste des français afin d’arriver au pouvoir et c’est tout..Il est évident par contre que les décennies qui arrivent vont être trés fertiles en rebondissement.Si l’on observe le monde car c’est bien de cela qu’il s’agit avec les pays qui se développent en Asie ,la Chine et l’Afrique qui a un taux de croissance moyen je crois de 7% nous allons au devant de grandes surprises en matière de pollution,de consommation d’énergie et d’agriculture.Nous sommes 7 milliards d’individus sur terre aujourd’hui, il est prévu 9 milliards en 2050 c’est a dire demain.

  8. Ne soyez pas dupes. Ce texte est un ramassis d’ordures. Renseignez-vous sur les faits car cet article (je pense que quasiment tout ce site est pareil) me paraît plus que critiquable tant au niveau de ce qui y est exposé qu’au niveau du raisonnement. On essaye de vous prouver que l’écologie est mal mais il n’y a aucun raisonnement ou presque.
    Pour votre culture générale, lisez Orwell et Huxley.
    Et informez-vous sur la décroissance, probablement une des rares voies de notre “salut” dans ce monde que vous croyez “en crise” comme vous le répète sans arrêt les médias de la pensée dominante.

  9. BONJOUR L’OUVERTURE D’ESPRIT MONSIEUR? JE NE VOUS FELICITE PAS

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