« La Vérité, l'âpre Vérité »

La prise du pouvoir par les socialo-fonctionnaires

  • 25 octobre 2011

 

Traditionnellement les fonctionnaires représentaient l’état et étaient solidaires de ses décisions. Ils étaient équitablement répartis entre droite et gauche. La gauche représentait avant tout le monde du travail et défendait ses droits.

Tout ceci a été bouleversé par la prise progressive du pouvoir par les fonctionnaires, orchestrée par les socialistes : une nouvelle caste de socialo-fonctionnaires a émergé et a confisqué le pouvoir. Ce putsch qui ne dit pas son nom s’est déroulé en plusieurs actes. Tout a commencé avec l’enseignement.

L’acte premier du coup d’état des socialo-fonctionnaires a été la mainmise sur l’enseignement. L’acte fondateur est l’accord Thorez-Debré de 1945, qui a donné à la gauche la responsabilité de l’enseignement (nous en voyons aujourd’hui le triste résultat). Dans les années 70, Mitterrand, a compris que la manipulation du corps enseignant et des étudiants offrait un boulevard à la gauche. En fourvoyant une génération entière d’étudiants vers des études sans débouchés – essentiellement littéraires ou générales – la gauche a réussi à créer une génération de frustrés qui ne pouvaient trouver d’emploi dans le secteur marchand. Elle a alors créé des postes de fonctionnaires pour accueillir ces étudiants et a élargi les concours de recrutement de la fonction publique afin de favoriser l’arrivée massive de généralistes à Bac+5, sans technicité aucune, à des postes subalternes. La gauche a ainsi progressivement transformé les différents services publics, d’équipes resserrées de techniciens compétents vers des masses pléthoriques de généralistes politisés et frustrés.

L’acte deux a consisté à amplifier le mouvement par une expansion tous azimuts de la fonction publique. Ces nouveaux fonctionnaires, embauchés en masse avec l’arrivée de la gauche au pouvoir en 1981, sont devenus des votants à vie pour le PS qui leur a fournis un emploi. Ils ont aussi développé une haine de la droite et du privé qui ne reconnaissaient pas leurs diplômes.

En 1981, la France comptait déjà 1,5 millions de fonctionnaires de plus que la moyenne européenne mais nos énarques socialistes ont été chargés de créer de nouveaux emplois publics : ce sont les Fabius, Attali, Hollande, Royal, Aubry, Cresson, Bianco, Sapin et autres, qui ont mis en branle la machine à déficit qui nous ronge aujourd’hui. En 20 ans, ce système a créé plus de 1,4 millions de fonctionnaires et emplois assimilés dans les services de l’état et des collectivités. Et tout ceci était bien évidemment calculé : le PS fabriquait et recrutait ses électeurs. Le coût est abyssal et inexorable. On peut discuter des virgules mais les grandes masses sont incontestables : 1,4 millions de fonctionnaires coûtent 70 milliards par an et sur 50 ans de vie active et de retraite, cela représente une charge de 3500 milliards pour la nation. Si on considère que cette somme doit être intégralement financée par l’emprunt, le coût est multiplié par 2.

Cela a-t-il été discuté devant le Parlement ? Non. La droite s’est-elle révoltée ? Mollement. Les médias ont-ils crié au scandale ? Non bien sûr, pas entre amis. L’achat d’électeurs est-il compatible avec les principes de la démocratie ? Non, mais c’est tout de même arrivé en France.

La prise du pouvoir électoral par achat de voix est encore aujourd’hui en vigueur. Regardez notre bon samaritain Hollande qui veut créer 60 000 emplois dans l’éducation nationale !

Par ailleurs, le maintien des privilèges des fonctionnaires est la raison d’être du parti socialiste puisque c’est devenu la condition principale de sa survie politique. Les fonctionnaires bénéficient d’un privilège exorbitant qui en fait une caste de brahmane de la république : l’emploi à vie. Au-delà, ils ont tout un ensemble d’avantages annexes mais substantiels :

–       Salaires nets supérieurs à ceux du privé pour un travail comparable,

–       Semaine de 28 heures en moyenne,

–       Congés payés de 8 à 11 semaines par an,

–       Retraite supérieure de près de 70% à celle du privé,

–       Jours de grève payés grâce à la manipulation des syndicats,

–       Absentéisme sans contrôle de 12% en moyenne (18% dans l’éducation nationale, 6% dans le privé),

–       Villages de vacances, clubs, associations financées par des fonds publics,

–       Avantages catégoriels divers (billets de transport gratuits, électricité à prix réduit,…).

 

L’acte trois de la prise du pouvoir a consisté à éliminer les forces qui auraient pu s’opposer au mouvement. Cette vaste manipulation socialiste n’aurait en effet pu avoir lieu si l’appareil d’état n’avait pas petit à petit été noyauté par une énarchie économique qui a pris la place des ingénieurs (X, Centrale, Arts et Métiers) qui ont construit la France. Après les 30 glorieuses des ingénieurs, nous avons eu les 30 piteuses de l’énarchie. Incapable de construire et de créer, cette caste s’est contentée de gérer à son profit la richesse créée par d’autres. La France est passée d’un pouvoir de spécialistes et de visionnaires à un pouvoir de généralistes plus ou moins bons gestionnaires mais incompétents dans la prospective. L’ineptie et la vacuité du programme industriel de nos énarques est patente.

Le quatrième acte a consisté à politiser une partie des fonctionnaires afin d’en faire des recrues pour le parti socialiste. Tout naturellement, le corps enseignant a été – et reste encore – le vivier de recrutement le plus actif. La mainmise sur l’enseignement a été instrumentalisée par l’émergence d’un corps de gauche et d’extrême gauche, qui, balayant le devoir de neutralité, aiguillonne les élèves, collégiens, lycéens, étudiants, et les pousse à la révolte. Cet enseignement doctrinaire organise la désorganisation : l’appauvrissement de la grammaire, le laisser aller dans l’apprentissage de l’orthographe, la suppression des notes et des contrôles participent de cette logique quasi-anarchiste de déstructuration. Ce qui est vrai pour les programmes l’est encore plus pour l’organisation du travail. Avec un enseignant pour 14 élèves (en tenant compte d’un absentéisme de 18%), les classes ont en moyenne 30 élèves ! Le temps de présence moyen d’un enseignant devant les élèves est de moins de 11 heures par semaine. Personne ne peut se contenter de travailler si peu : on ne peut remplir utilement sa vie avec 11 heures de travail effectif par semaine. Mais Martine a détruit la valeur travail et il ne vient à l’idée de personne (ou de très peu) de faire travailler plus les enseignants. Que des artisans ou commerçants puissent travailler 60 ou 70 heures par semaine ne choque personne mais demander à un enseignant de passer de 11 heures à 13 heures relève de l’obscénité. Il est vrai que s’occuper toute sa vie d’une classe de sixième avec une formation BAC+5 doit être frustrant. C’est pourquoi nombre d’enseignants se tournent vers la politique.

Le cinquième acte de notre putsch est la démission de la société civile, en tant que force politique face aux professionnels issus de la fonction publique. Ces derniers cumulent tous les avantages : temps libre, garantie de retour au bercail en cas d’échec électoral, soutien des associations diverses et variées, masse de bénévoles pour coller des affiches, distribuer des tracts, participer aux forums internet, dénigrer les adversaires. Les cadres du privé, les artisans, les chefs d’entreprise ont baissé les bras. Seules les professions libérales et en particulier les avocats qui n’ont pas toujours une charge fixe en continu peuvent se lancer dans la politique. Est-ce suffisant pour assurer la représentativité de la nation ? Les fonctionnaires se sont emparés du pouvoir politique grâce à l’emploi à vie et à leur droit de retour.

Le dernier acte enfin a consisté à enrôler d’autres acteurs pour noyauter tous les pans de la société :

–       les syndicats bien sûr, dont la principale motivation est maintenant politique et non plus économique,

–       les magistrats qui jugent de plus en plus en fonction de leurs opinions et non pas des textes de lois. Défendus par le Syndicat de la magistrature, ils sont devenus une caste au-dessus des lois qu’ils sont censés faire appliquer,

–       les journalistes enfin qui n’oseront jamais mordre la main qui les nourrit.

En 30 ans, les socialo-fonctionnaires ont réussi à totalement changer le paysage politique français et à transformer un système de classes en un système corporatiste :

–       D’un côté le parti socialiste – et ses encombrants alliés verts ou rouge foncé -, qui représente les fonctionnaires, les élus locaux, les employés des sociétés nationales, une grande partie des étudiants (manipulés) et bien sûr les médias. Son programme est simple : exiger toujours plus du secteur marchand et de la société civile afin de maintenir les privilèges des brahmanes de la fonction publique, ses électeurs,

–       De l’autre côté, la droite, qui représente aujourd’hui les petits et grands patrons, les cadres et professions intermédiaires, les artisans et commerçants, les professions libérales, la majorité des retraités et une partie de la haute fonction publique.

D’un côté, ceux qui créent la richesse, de l’autre ceux qui la distribuent et en profitent. Mais on n’accroît pas les biens en les divisant. Les socialo-fonctionnaires savent très bien que tout pouvoir ne peut distribuer aux uns que ce qu’il a préalablement confisqué à d’autres.

L’extrême droite a récupéré la population qui souffre, rejetée par la gauche au profit des fonctionnaires. Les maigres bataillons d’ouvriers se sont dégonflés sous l’effet de la crise, de la mondialisation et de la désindustrialisation de la France ; et la gauche les a laissé tomber pour se concentrer sur les nouveaux bataillons bien plus juteux de fonctionnaires. Evidemment, faire monter l’extrême droite n’est pas sans avantage pour les socialistes. Mitterrand l’avait parfaitement compris.

 

La France est entrée dans un système irréversible où le pouvoir a été confisqué par la caste des socialo-fonctionnaires, les privilégiés du service public.

 

Le premier de leur privilège, le plus exorbitant, la clef de voute de tout le système, c’est l’emploi à vie. Y a-t-il une justification quelconque à ce privilège ? Aucune. L’emploi à vie est même parfaitement contraire au principe d’égalité entre les individus inscrit dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. L’emploi à vie est la plus grande et la plus exorbitante des injustices de la société française. C’est en fait un déni de démocratie qui favorise la résurgence d’une nomenklatura qu’on croyait disparue avec la chute du Mur.

 

Pour ceux qui subissent, la question est critique. Pendant combien de temps encore vont-ils rester les otages des privilégiés du service publique. La France évolue peu par les réformes et attend souvent la révolution pour s’adapter. Quel révolutionnaire moderne aura le courage d’abolir ces privilèges et de rétablir le droit à l’égalité de tous ?

 

Comme l’a très justement écrit Adrian Rogers en 1931 : « quand la moitié d’un peuple croit qu’il ne sert à rien de faire des efforts car l’autre moitié les fera pour elle, et quand cette dernière moitié se dit qu’il ne sert à rien d’en faire car ils bénéficieront à d’autres, cela mes amis, s’appelle le déclin et la fin d’une nation ».

 

DANTON

Déjà 11 commentaires, laissez un commentaire

11 commentaires actuellement

  1. @Colibre : Sous l’ancien régime, les bourgeois, c’est à dire la classe qui a fait la révolution, étaient des privilégiés. Leurs privilèges pouvaient être supérieurs à ceux de bien des nobles. A une certaine époque, celle des “Rois maudits”, ils ont même failli prendre l’avantage sur la noblesse, mais c’est finalement au profit de cette dernière que Philippe V LE LONG a fait pencher la balance vers la noblesse, ou du moins une partie d’entre elle. Aux états généraux,n certain nombre de députés du Tiers état étaient des nobles…

  2. La Révolution de 1789 ne s’est pas faite avec les ”sans-dents” !!!
    C ‘ est la classe moyenne de la société et ceux qui étaient près des aristocrates qui pouvaient baver sur leur privilèges et ont fait la Révolution pour s’en emparer en changeant le nom de ces privilèges..et les titres…
    On a basculé sur la” Ripoublique ” et ses voyous qui se sont emparés de Charges d’État en tout point équivalent aux titres de Noblesses …

    Ce qui vient de changer brutalement c’est que la Grande Finance Mondiale a pris le pouvoir et les Voyous de la République continuent à faire croire aux sans-dents que VOTER changera quelque chose…..
    Bien sûr que NON !!
    Aujourd’hui le Guignol de la République nous est vendu par des opérations Marketing comme un produit de consommation….
    Le premier a avoir entamé ce nouveau mode de ” merchandising ” a été F.Mitterrand on nous a vendu un Socialiste qui était en fait un Vichyssois convaincu (François Mitterrand, récipiendaire numéro 2202, délégué du Service national des prisonniers de guerre, au printemps 19434, président de la République Française de 1981 à 1995 )

    Comme quoi la PUB ça marche …”La Force Tranquille ”
    Sarkozy lui a bénéficié d’une inversion des réalités….le marketing était le ” travail il y en a à la pelle heures sup. etc…vous allez tous devenir propriétaires !!!!

    A voir ce qu’il vont nous vendre en 2017…..pour avoir un Dupond ou un Dupont en tout point identique sur le programme= le Néolibéralisme !!!

  3. Parlons de la Révolution Française, il s’agissait d’abolir le régime des privilèges. Aujourd’hui une nouvelle aristocratie est née, elle jouit de sinécures politico-administratives, même nos chefs syndicaux ont un train de vie de ministre. Pendant ce temps, les productifs du prive subissent un carcan administratif et fiscal de plus en plus lourd… La révolte viendra du peuple exaspéré de voir ses enfants réduits a la précarité et au chômage quand des nantis planques dans les administrations, les régions, les conseils généraux, les communautés d’agglos, la chambre des députés, le sénat, les cabinets ministériels continuent a se pavaner et a profiter du système. Ils risquent bien un jour de se retrouver pendus a la lanterne’….

  4. Parlons de la Révolution Française, il s’agissait d’abolir le régime des privilèges. Aujourd’hui une nouvelle aristocratie est née, elle jouit de sinécures politico-administratives, même nos chefs syndicaux ont un train de vie de ministre. Pendant ce temps, les productifs du prive subissent un carcan administratif et fiscal de plus en plus lourd… La révolte viendra du peuple exaspéré de voir ses enfants réduits a la précarité et au chômage quand des nantis planques dans les administrations, les régions, les conseils généraux, les communautés d’agglos, la chambre des députés, le sénat, les cabinets ministériels continuent a se pavaner et a profiter du système. Ils risquent bien un jour de se retrouver pendus a la lanterne’….

  5. La societe francaise est divisee en 3 castes : les productifs de l’economie privee ( ouvriers, patrons, liberaux ) les fonctionnaires ( et il faut quand meme se rendre compte qu’ils ne produisent rien sauf les enseignants et les hospitaliers et bien souvent genent la production des autres. Les fonctionnaires les plus performants sont ceux qui font rentrer l’argent dans les caisses de l’etat ) et enfin les assistes ( même s’ils ont travaille toute leur vie, les retraites en font partie car a charge des actifs ) Le probleme est que les fonctionnaires et les assistes sont de plus en plus nombreux quand les productifs le sont de moins en moins, l’exode des jeunes diplomes va aggraver les choses.

  6. AHAHA…. encore pris la main dans le sac ce faux vive la cgt qui utilise mon vrai pseudo pour faire croire qu’il est faux. Je suis le vrai Aldo mais le faux vive la cgt pense qu’il va encore longtemps faire croire qu’il est le vrai alors que c’est moi qui le suis et lui qui n’est pas du tout le faux. Ce message est de Vive la CGT gruchié danton anonyme qui sont les vrais @Aldo champ de bataille pour faire penser qu’ils sont les faux @Aldo champ de bataille…. méfiez vous ils piquent vos pseudos pour faire croire que c’est eux alors que c’est vous. Je mets cela dans le dossier pour la justice.

  7. triste con juste bon a vomir sa haine et sa rancœur t est un attardé seul sans amis plus de famille ( tu dégoutte tout le monde …) ta seule joie vomir ta chiure verbale ( a défaut de pratiquer la saillie physique tu t essaye a la verbale ( sans succès car t est beaucoup trop con gros mytho …. ) bref l inutile de gauche ( pléonasme !!!!) alors comme d hab DEGAGE PAUVRE CON RETOURNE VIDER TES VERRES DE ROUGE ET FOUT NOUS LA PAIX GROS TOCARD

  8. pourquoi tu parle papon ton préféré c est bousquet ( commanditaire de la rafle du veldhiv….. et grand ami de ton dieux mite errante …..) en plus si toi t est un prof … je n ose imaginer ce que tu peut apporter a nos enfants …. il suffit de te lire …. t est juste un gros mytho malsain ….alors comme d hab DEGAGE PAUVRE CON

  9. A la lecture de vos articles, on voit que vous haïssez les fonctionnaires.

    Dans, ce cas, si les travailleurs du privés sont plus opprimés que ceux du public, alignons la situation des premiers sur celles des seconds, en piochant sur les portefeuilles des millionnaires et milliardaires.

    Or, vous ne vous dénoncez jamais les privilèges dont jouissent les ultra-riches.

  10. LES MEDIAS N’AIMENT PAS LA FRANCE !
    Depuis que les Socialistes sont au pouvoir, en particulier depuis que François Hollande est Président de la République, l’information médiatique en France est dirigée essentiellement contre tout ce que le Gouvernement entreprend !
    Pourtant, quand il a pris les rênes du Pays, la situation était désastreuse :
    – Les français étaient gouvernés les uns contre les autres : public/privé, jeunes/âgés, chômeurs/travailleurs, villes/banlieues, etc.… ! – Les finances publiques dans un état lamentable ! – Les riches plus riches, les pauvres plus pauvres ! – Les autoroutes privatisées ! – Les affaires en cascades : L’Oréal, Champ de courses bradé, financement de campagne électorale, indépendance de la justice remise en cause par la loi Dati, désignation à l’audiovisuel par le Chef de l’Etat, et ainsi de suite …
    Tous les journaux ont promotionné cette méthode gouvernementale ! Mais les Françaises et les Français ont décidé le contraire ! Ils ne veulent plus de « Karcher » !
    Depuis, il ne manque pas une seule journée où les journaux écrits, télévisés, tapent sur le Gouvernement. Tout est orchestré, dans toutes les pages de l’information, je suis outré !
    Prenons un quotidien national, très connu à Paris :
    – Page une : Hollande est-il à la hauteur ? – Page deux : Marine Le Pen dénonce la hausse des impôts ! – Page trois : La loi sur la refondation de l’école et les rythmes scolaires en interrogeant un élève de la maternelle ! – Page quatre : L’écotaxe : les camions dans la rue ! Les bonnets rouges alors qu’ils sont dirigés par les patrons ! – Page cinq : Un homme tire sur ses parents ! – Page six : La France va être éliminée ! – Page spectacles : Sarkozy admire en spectateur Carla Bruni !
    Vous fabriquez des torchons ! Je vous cite :
    « Les incapables, la prostate, …….
    Et c’est tous les jours ainsi ! Tout est foutu ! Suicidez vous ! Les socialos sont au pouvoir !
    Vous promotionnez la sinistrose ! Vous ne dites pas la vérité ! Non, tous les Français ne sont pas racistes ! Non, tous les français ne sont pas contre les mesures gouvernementales ! Non, tous les français ne sont pas contre certains impôts !
    Aucun de vous n’explique le pourquoi, le bien fondé des mesures gouvernementales. Au contraire, vous instrumentalisez les gens indécis, les plus défavorisés, pour leur faire croire que le gouvernement est composé d’incapables, le Président en premier !
    Alors ne vous étonnez pas de la montée du racisme, qui génère des prises de position pour le Front National ! Oui, Messieurs les journalistes, vous promotionnez un parti qui soit disant est politique, vous participez à la banalisation des extrêmes !
    Non, Messieurs, vous n’aimez pas la France !
    Et en plus votre « canard » est cousu de fautes d’orthographe !
    Non, Messieurs, vous n’aimez pas la France !
    Pourtant le Gouvernement n’a rien changé dans la feuille d’imposition des journalistes ! Plus que les cheminots, que souvent vous mettez en exergues, vous bénéficiez de privilèges !
    « Non seulement des avantages en nature : frais de repas, d’hôtel, de déplacement, mais aussi d’une véritable niche fiscale. En effet, à l’origine, une déduction fiscale supplémentaire par rapport à tout citoyen français a été crée et se justifiait en raison de l’impossibilité pour les journaux d’après guerre de disposer des ressources financières suffisantes pour rembourser l’intégralité des frais professionnels. Dans ce contexte l’Etat a accepté d’assumer ces défraiements pour tous les journalistes et les métiers s’y rapportant. Mais à la fin de la 2 ème guerre mondiale, les conditions salariales des journalistes français ont évolués. Désormais, la plupart des frais professionnels sont pris en charge par leurs journaux.
    Les journalistes cumulent donc les remboursements effectués par leur Entreprise et celui de l’Etat ! Aujourd’hui l’article 81 du code général des impôts permet aux journalistes de déduire directement 7.650 euros de leur revenu imposable pour « frais inhérents à leur profession ». Alors que tous les français sont censés être « égaux » devant l’impôt : article 13 de la déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen ! ».
    Mais voyez-vous, les cheminots sont informés, leurs Ipad ne fonctionnent plus à la vapeur !
    Non, Messieurs, vous n’aimez pas la France !
    Et puis un jour, on s’en prend aux médias ! Qui ? Pourquoi ?
    Un homme armé isolé ou organisé ?
    Voilà ce que vous avez entrainé dans votre sinistrose, une maladie terrible !…….Une place privilégiée aux fous, aux extrêmes !
    Alors que vous prônez la liberté de la presse, vous êtes l’instrument d’une seule idée de pensée ! Vous n’acceptez plus le pluralisme ! Avant, vous exprimiez diverses opinions ! Aujourd’hui vous êtes tous sur le même courant de pensée !
    Mais qu’en on s’attaque à la Presse, on s’attaque à notre Liberté à Toutes et Tous ! Alors, Nous comme on aime la France, on vous défend aussi !
    Oui pour la liberté de la Presse !
    Non pour une presse dirigée par un seul courant de pensée !
    Oui, nous, Toutes et Tous, aimons la France !
    Un citoyen imposable et fier de l’être, mais qui a cessé d’acheter le journal et qui a débranché son téléviseur ! Jacky DUPONT

  11. Actuellement je suis devenu fonctionnaire: je suis payé à ne rien faire!on ne peut pas me licencier!et je serai payé jusqu’à ma mort! Ah non pardon je ne suis pas fonctionnaire mais c’est tout comme je suis retraité!!!!

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.