Le trotskisme a pris naissance en 1917 avec la Révolution Russe, contrôlée initialement par Trotski et un petit groupe de juifs qui se disaient laïcs (entre 30 000 et 40 000 selon les sources). Trotski et ses sbires sont responsables des massacres et des famines de 1918 à 1922 qui ont fait plus de 10 millions de morts. Les trotskistes ont tué pendant les quatre premiers mois de leur règne plus de personnes que les Tsars pendant un siècle !
Le but de Trotski était de remplacer le monde féodal russe par une société organisée en deux strates seulement : au sommet, une élite bolchévique, à la base, les ouvriers séparés en ouvriers agricoles et ouvriers industriels. Les ouvriers n’avaient aucun droit si ce n’est celui de recevoir de la nourriture en échange de leur travail. L’élite bolchévique était contrôlée par un petit groupe de juifs qui ont irradié les instances dirigeantes du parti, l’Armée Rouge, la Tcheka, ainsi que la puissante organisation régulant le travail des ouvriers et allouant les compensations travail-nourriture. Pendant cette courte période de quatre ans, toute la richesse de la noblesse russe, de la bourgeoisie, des propriétaires terriens (grands et petits) et du clergé, a disparu corps et biens. Une partie s’est retrouvée entre les mains des banques de Wall Street et une autre partie entre celles des sionistes.
Après le décès de Lénine et l’éviction de Trotski, le trotskisme, qui a toujours été internationaliste, s’est propagé dans le monde grâce aux réseaux juifs. Cette organisation, jusqu’alors souterraine, a ressurgi en France en mai 68, à travers les syndicats étudiants et les médias qui les ont valorisés. Les disciples de Trotski se sont alors développés plus ou moins ouvertement et sont en grande partie responsables de l’élection de François Mitterrand, qui leur a fourni beaucoup de gages.
A l’instar du pouvoir bolchévique, la secte trotskiste a deux composantes bien distinctes : au sommet, un petit groupe composé essentiellement de juifs penseurs et organisateurs, et à la base, les « idiots utiles » qui sont les bras et les jambes et forment les bataillons nécessaires pour faire masse. Seul le petit groupe des organisateurs mérite l’attention. Ils sont intelligents, cultivés, dévoués, souvent extrémistes et intolérants. Leur mouvance politique est l’extrême gauche car il est difficile de recruter des idiots utiles à droite. Au-delà et au-dessus de tout, ils sont animés par un très fort sentiment de supériorité par rapport à tous les autres groupes.
Ce sentiment de supériorité et d’invulnérabilité qui caractérise une (faible) partie des juifs s’est transmis à nos juifs trotskistes comme un message biologique. L’origine de cette supériorité a déjà fait couler beaucoup d’encre partisane, parfois bien inutilement. Il faut considérer les faits sans manipulation, à commencer par les écrits saints du peuple juif. Si la Torah est un livre en essence proche de la Bible, le Talmud, son interprétation, est le livre religieux le plus sectaire qui ait jamais existé. Le Talmud recèle une violence sans commune mesure avec celle – souvent décriée – du Coran et de la Charia. Le Talmud revendique ainsi le pouvoir absolu pour un peuple (15 millions d’êtres sur 7 milliards d’humains) choisi par Dieu pour soumettre le monde. Avec nos critères humanistes actuels, certains passages du Talmud sont totalement honteux. On peut citer, sans les reproduire in extenso, les préceptes suivants issus du Talmud :
– Le juif est un être supérieur,
– Les non juifs sont impurs,
– Les non juifs sont des animaux (Trotski l’avait bien compris),
– Les juifs peuvent voler les non juifs
– Les juifs ont le droit de mort sur les non juifs,
– Toutes les déviations sexuelles sont permises aux juifs.
Aujourd’hui, une majorité des juifs est empêtrée dans ces textes immuables et stupides qui ne correspondent plus à rien. La parade trouvée par les rabbins a été de publier pour les goyims des textes tronqués, plus présentables, tout en continuant à enseigner aux enfants juifs les textes originels et complets. Heureusement, dans les faits, la grande majorité des juifs a adopté les préceptes du Nouveau Testament ou du Coran, en acceptant les lois des pays où ils habitent. De même, l’état d’Israël a adopté dans sa grande majorité la morale chrétienne. Néanmoins, cette croyance d’être le peuple choisi est profondément ancrée et elle a généré ce sentiment de supériorité d’essence divine, évitant ainsi tout jugement des autres chez un certain nombre d’adeptes.
Ce sentiment est renforcé par le mythe, propagé par certains idéologues sionistes, de la pureté génétique du peuple juif. Dans les faits, le peuple juif au sens génétique du terme, n’existe plus depuis longtemps. La communauté des juifs riches, – et il y a un fossé infranchissable entre un juif riche et un juif pauvre -, a émigré et a créé avec succès des comptoirs, des tribus, des villes, des états, des royaumes. C’est le cas des royaumes juifs berbères ou khazars (8ème siècle), des colonies yéménites, chinoises, éthiopiennes ou indiennes. Durant 18 siècles, les juifs ont fait du prosélytisme et ont converti des peuples se mêlant à eux par métissage. La soi-disant pureté de la race préservée grâce aux règles de filiation n’est qu’une vieille lune remise au goût du jour par le sionisme au 19ème siècle. Les seuls qui pourraient se revendiquer de sang juif sont les palestiniens musulmans convertis de force et qui ont gardé des habitudes tribales de filiation. Et ce sont ceux qui sont exclus de l’état d’Israël ! Ce pâté d’alouette montre bien qu’il n’y a plus depuis longtemps de filiation génétique, nombre de chrétiens ou de musulmans ayant plus de sang juif que les juifs actuels. Les recherches génétiques forcenées conduites par certains fanatiques n’y changeront rien.
Le sentiment de supériorité du peuple juif provient également de sa richesse. L’origine de cette richesse est historique. Durant des siècles, il était interdit aux chrétiens et aux musulmans de devenir banquiers et de prêter avec des intérêts. Ce sont quelques juifs qui ont tenu ce rôle considéré comme dégradant. Leur énorme fortune vient ainsi de très loin, du temps où ils étaient les banquiers des rois. Avec les républiques et les démocraties, le pouvoir des banquiers juifs a évolué et ils se sont spécialisés dans le financement des pays en guerre. Grâce à des mécanismes de compensation, leur argent passait les frontières et les tranchées et ils pouvaient s’enrichir en prêtant à un belligérant l’argent récolté chez son ennemi. C’est ce qui s’est passé en particulier durant la dernière guerre entre Wall Street et le régime nazi. C’est également ce qui explique que les bolchéviques, alors qu’ils refusaient de rembourser les prêts russes français, ont remboursé les dettes contractées auprès des banquiers de Wall Street.
Les banquiers, qui se comportent comme des non-résidents et ne se sentent pas liés par les lois du pays dans lequel ils vivent, ont fait des émules. Les juifs trotskistes ont, au nom de la notion de peuple choisi, abandonné toute contrainte morale, juridique ou politique dans leurs pays d’accueil. Comme le disait Staline « leur seule limite est la peur ».
C’est ainsi que s’est construite l’utopie bolchévique de Trotski, qui rêvait de conquérir le monde par les armes en utilisant « les idiots utiles » comme bataillon. Chez les trotskistes, tous les moyens sont bons pour atteindre le but recherché et ils sont passés maître dans la culture de la clandestinité, – on change son nom, on cache sa religion -, du secret, de l’hypocrisie, de la délation, de la traitrise, de la rumeur ou de l’escroquerie morale ou financière. Trotski n’a eu aucun problème moral à amener les ouvriers russes vers le stade d’avilissement qu’il considérait comme leur état naturel, celui de simples animaux.
Les trotskistes ont cependant un mur infranchissable : leurs actions ne doivent pas nuire au Grand Projet sioniste. C’est ainsi que Trotski a laissé échapper le pouvoir vacant laissé par Lénine malade : il n’a pas voulu se mettre en première ligne et courir le risque que les massacres perpétrés par les bolchéviques ne soient un jour imputés aux juifs. Cette culture du secret est entretenue dans tous les domaines. Il faut à tout prix cacher ce qui pourrait provoquer une réaction de rejet dans la population. Ainsi les historiens français trotskistes s’appliquent-ils à réécrire l’histoire dans les manuels scolaires afin que les abominations de la période bolchévique soient passées sous silence. Cette culture du secret correspond à l’esprit des marranes, ces juifs convertis par l’inquisition et qui pratiquaient le judaïsme en cachette. Pour les marranes, la vraie foi doit toujours rester cachée, afin que la communauté soit préservée.
Il existe un lien très fort unissant les juifs trotskistes à travers le monde et ce lien n’est certainement pas l’amour partagé de la démocratie, bien au contraire. Une majorité des penseurs trotskistes originels provient d’Europe centrale où le sionisme s’est construit au 19ème siècle, en priorité sur des thèmes extrémistes. Ils partagent entre eux trop de révolutions sanguinaires et trop de massacres pour que leurs liens soient purement philanthropiques. Leur but n’est pas d’instaurer la démocratie, mais une théocratie d’apparence laïque à leur service. Ils ont un sentiment divin de supériorité qui leur permet tout. Un système de secte comme il en existe de nombreuses dans le monde juif les unit dans le désir de contrôler le monde en utilisant les goyims comme chair à canon et les « idiots utiles » comme manifestants. Leur but est simple : détruire ce monde pour reconstruire un monde biblique où seul le peuple juif a tous les pouvoirs.
Cette secte fait peser sur la France – terre de prédilection du trotskisme – une menace réelle et certaine exercée par un groupe externe au pays, sans foi (apparente) ni loi, qui s’est implanté comme un cancer et qui a lancé ses métastases sur les forces vives de la société : nos enfants à travers les enseignants et les manuels scolaires, l’appareil d’état à travers les fonctionnaires, l’appareil industriel à travers les syndicats, les partis politiques qui ne se rendent pas compte qu’ils sont noyautés. Le Grand Projet est leur seul but.
DANTON
Alors les Aldofs, on ressort les vieux ressorts ?
De son dernier lavoyage à Nyuillorc, votre marine est pourtant ressortie toute délavée …!
Un poignée de mains qui vous ressemble.
On prépare les triangles rouges, jaunes, roses, violets etc … ? Les vôtres sont bleu pâle, entrelacés tête-bêche, insigne d’un des derniers états racistes de la planète.
Ce blog pue encore plus que nos décharges d’ordures.
Trotskiste? ça existe?
J’aime assez être critiquée et stigmatisée par des gens dont les pendules se sont arrêtées au milieu du siècle dernier!
D’un autre côté, vu l’état actuel du monde, je comprends qu’il y en ait qui trouve plus confortable de s’enfouir la tête dans les sables du passé.
“Le Grand Projet est leur seul but.”
ça va pas mieux la tête ?
Le seul projet d’un trotkyste aujourd’hui, c’est d’éradiquer les cons paranoïaques dans votre genre…
Tiens un exemple de ce qu’on peut trouver dans le “Programme de transition” de Trotsky (en 1936 déjà) : la levée… du secret bancaire.
ça doit être un plan détourné pour la mise en oeuvre du Grand Projet certainement…
Bande de tarés 3
“A l’instar du pouvoir bolchévique, la secte trotskiste a deux composantes bien distinctes : au sommet, un petit groupe composé essentiellement de juifs penseurs et organisateurs, et à la base, les « idiots utiles » qui sont les bras et les jambes et forment les bataillons nécessaires pour faire masse.”
C’est pas bien de prendre son cas personnel pour une généralité !
bande de nazes 2
“Le but de Trotski était de remplacer le monde féodal russe par une société organisée en deux strates seulement : au sommet, une élite bolchévique, à la base, les ouvriers séparés en ouvriers agricoles et ouvriers industriels”
j’ai ri
bande de nazes
excellent ! On peut sûrement apporter des éléments historiques plus précis ! Mais la réalité est là ! Des juifs ont commis des crimes contre l’humanité; c’est embêtant on parle plus de la shoah
En tout cas, il y a un juif qui n’a pas louper son “coup”, c’est celui qui s’est laissé aller à sauter sa boniche engendant ainsi Hitler…
ANONYME : je n’avais pas lu ce texte , grâce à toi c’est fait : tu as raison c’est un tissu de conneries sur le plan historique agrémenté d’un antisémitisme de forme paranoïde, le rédacteur de cet article est en tout cas mûr pour l’asile.
Comme tu peux le constater les fachos , racistes et autres saloperies du même genre existent toujours mais il ne faut pas boycotter leurs sites, au contraire, il faut les infiltrer , leur amener la contestation permanente edémontrer de façon systématique que ce sont des lobotomisés hystériques.
Partout où ils sévissent nous nous devons d’y être, sinon tu leur laisse le terrain.
En revanche si tu tombes sur des sites appelant ouvertement à la haine raciale, pratiquant le négationnisme et tentant de faire revivre les immondes théses nazies il ne faut pas hésiter à les dénoncer : les adresses ip sont aisément identifiables par les services chargés de la répression anti nazie, et ça leur fait mal !
Quand je vois des sites internet de ce genre je n’ai envie que d’une chose: pleurer. Comment peut on dire autant de stupidité?! Il n’y a aucune logique dans ce que vous dites! Vous passez votre temps à vous contredire, à mentir, à vous plaindre, à haïr, mais jamais vous ,ne proposez de solution.
30 000 personnes provoquant la mort de 10.000.000?? Vous vous êtes relus?
Déplorable.
PS: attention cachez vous bien ou les juifs homosexuels communistes anarchistes adorateurs de satan vont venir prendre vos enfants à l’aide de leurs doigts crochus.