Depuis des dizaines d’années, la générosité des français et l’argent des contribuables ont été détournés à travers le maquis des associations pour finir dans les poches de la gauche et de ses amis.
Il est très difficile de faire une analyse objective de la situation tant le système est complexe et obscur. La dernière étude sérieuse date de 2005. A l’époque, il y avait en France 2 millions d’associations recensées mais « seulement » 1 million d’associations actives comptant au total 20 millions d’adhérents. Une même personne peut adhérer à plusieurs associations.
Le budget total du million d’associations françaises était de 60 milliards d’euros en 2005. Ce budget provient pour 54% directement de fonds publics : état 20%, municipalités 20%, départements et organismes sociaux 10%, régions 3%, Europe 1%.
Les 20 millions d’adhérents cotisent au total 2,5 milliards d’euros mais reçoivent un reçu fiscal de 66%. Ils cotisent donc en réalité 850 millions d’euros, le reste, c’est à dire 1,65 milliards, étant financé par l’état via des baisses d’impôt.
Le mécénat, les fondations d’entreprises, les dons des entreprises, contribuent pour environ 1 milliard dont 660 millions reviennent aux donateurs sous forme de crédit fiscal.
Entre les subventions directes et les baisses d’impôts, ce sont ainsi 34,7 milliard d’euros (32,4+1,65+0,66) de fonds publics qui sont versés aux associations chaque année. Le reste des 60 milliards provient de la rémunération des services offerts (services à la personne par exemple) souvent résultant d’un mandat de service public.
Il faut comparer le budget de 60 milliards des associations au chiffre de 46 milliards d’euros correspondant à l’IS payés par l’ensemble des entreprises françaises. Alors que les entreprises font l’objet d’un contrôle pointilleux et incessant du fisc, les associations jouissent d’une absence de contrôle quasi totale. C’est stupéfiant ! Mais le système a justement été mis en place pour cela. La démultiplication à l’infini du nombre des associations rend leur contrôle difficile et coûteux.
Il y a trois types d’associations :
– les associations reconnues d’Utilité Publique,
– les associations reconnues d’Intérêt Général,
– les autres.
Seules les deux premières catégories bénéficient d’une aide fiscale. Et c’est dans ces deux catégories que se cachent les copains et les coquins qui ramassent l’argent à droite pour le mettre à gauche. On peut du reste parfois s’interroger sur la finalité de certaines associations : l’aide aux étrangers en situation irrégulière relève-t-elle vraiment de l’intérêt général ou ne constitue-t-elle pas plutôt une infraction aux lois de la République ? Faut-il vraiment subventionner ce type d’associations ?
Il faut évidemment du personnel et des moyens pour faire marcher ces associations. Elles sont le fromage dans lequel se repaît la traditionnelle clientèle de la gauche, fonctionnaires, syndicalistes et élus locaux au premier rang. En 2005, il y avait 1,2 million de permanents pour concocter cette mayonnaise de gauche. Il y en aurait plus de 2 millions aujourd’hui !
La Cour des Comptes essaie de temps à autres de soulever le couvercle de la marmite. Elle a ainsi découvert que seulement 26% des dons à la recherche arrivaient jusqu’aux scientifiques et que 74% étaient utilisés en frais généraux : salaires, bureaux, voyages, publicité, études de marché qui servent aussi à alimenter des amis. L’état ne ferait-il pas mieux de donner 100% de ces sommes directement aux scientifiques, plutôt que de laisser agir ces pompes à fric à la solde de la gauche ?
Comment voulez-vous qu’un homme de gauche qui voit tomber gratuitement tout cet argent puisse résister ? Crozemarie a été un exemple édifiant d’un homme qui a détourné la générosité des français pour financer son château, sa piscine, ses voyages et ses maîtresses.
De même, la multitude des associations de lutte contre le Sida s’est fait épingler par la Cour des Comptes qui a relevé le caractère occulte de leur financement et de l’utilisation de leurs fonds. Beaucoup d’associations humanitaires, telle SOS Racisme, pratiquent cet obscurantisme financier et refusent de rendre des comptes.
Et tout ce beau monde joue aux chaises musicales : partis de gauche, syndicats, associations, caisses de retraites, mutuelles, caisses de sécurité sociales constituent le fromage dans lequel s’ébrouent les parasites de gauche qui dilapident la richesse créée par le privé.
Bien sûr, il existe de superbes associations constituées de gens dévoués à leur mission, souvent bénévoles, et dont les causes sont justes. Malheureusement, elles sont minoritaires. La vaste majorité des associations en France est constituée de pompes à fric, servant à rémunérer – souvent grassement car on peut manger à de nombreux râteliers – les copains et les coquins de la gauche.
Et les associations renvoient bien sûr l’ascenseur car les adhérents constituent la masse de manœuvres utilisés par les partis de gauche dans les manifestations, les congrès, les meetings, la manipulation d’Internet, la distribution de tracts, le collage d’affiches, la permanence aux bureaux de campagne, les blogs, les campagnes sur Twitter. Et tout ce système fait que la gauche a des moyens considérables qui sont financés par des voix totalement occultes. Que fait-on au niveau du contrôle des frais de campagne ?
Si on considère que les frais généraux des associations s’élèvent à 20% de leur budget et que 50% des associations sont vérolées, on arrive à un montant détourné de l’ordre de 6 milliards d’euros.
Il y a quelques champions du détournement :
– SOS Racisme : son budget est constitué de 579.000 euros de subventions publiques pour seulement 19.000 euros de cotisations. Tout cet argent pour payer des bavards, ça fait beaucoup par goutte de salive.,
– Delanoë : le système quasi mafieux qu’il a mis en place à la ville de Paris distribue chaque année 203 millions d’euros à des associations de gauche ou dont les dirigeants sont de gauche. La seule gestion de ces subventions nécessite une centaine de permanents qui coûtent 4,2 millions d’euros par an !
Personne à ce jour n’a eu le courage de donner un grand coup de pied dans la fourmilière des associations. Le système a encore de beaux jours devant lui.
DANTON
30 janvier 2008 : le pavé dans la mare ( 5 ans et facebook me censure encore !! )
L’étincelle qui allait mettre le feu aux poudres a eu lieu dans une obscure publication, le “Bulletin des médecins suisses”. Un avis à l’usage des médecins donc. Mais popularisé par le professeur genevois Bernard Hirschel, avant sa publication, en décembre 2007.
Titre volontairement provocateur : “Les personnes séropositives ne souffrant d’aucune autre MST et suivant un traitement antirétroviral efficace, ne transmettent pas le VIH par voie sexuelle”.
Associations = Conflit d’intérets
Je n’ai pas entendu dire d’une association que les séropositifs devaient être considérés comme des coupables du seul fait de leur sérologie.
En revanche le discours qui consiste à vouloir culpabiliser celles et ceux qui, bien que pouvant être désormais considérés comme non-contaminant, voudraient échapper au latex est il me semble toujours tenu par ces mêmes associations supposément aider les séropositifs.
Aujourd’hui (je n’aurais pas dit cela il y a 20 ans) c’est tout de même un peu “grâce” à ces associations qui vivent de la peur du VIH que la phobie des séropositifs est toujours aussi prégnante.
Ce sont aussi ces associations qui ont tout fait pour occulter le plus grand événement des 15 dernières années dans le domaine VIH, le rapport Hirschel, rapport dont la divulgation aiderait beaucoup de séropositifs à avoir moins peur d’eux-mêmes, à leur redonner confiance en leurs chances de bonheur, et qui par ailleurs ferait reculer la sérophobie dans la population générale.
Mais nos associations ont fait le choix de ne pas tuer la poule aux oeufs d’or et culpabiliseraient volontiers ceux qui voudraient faire la promotion de ce rapport qui les dérange.