La grève de la correction du bac menée par une poignée de surveillants montre une nouvelle fois que la secte contestataire de gauche n’a aucun respect pour les élèves qu’elle est censée éduquer et conduire jusqu’au bac. Il n’y a absolument aucune excuse à une telle attitude de dédain et de mépris du plus élémentaire des devoirs.
On disait autrefois que les instituteurs et professeurs enseignaient non pas ce qu’ils savaient mais ce qu’ils étaient. La bande de gauchistes qui fait grève est la négation absolue de ce que les élèves doivent devenir. Pour le bien de tous ils devraient être interdits à jamais de côtoyer des élèves et de leur inculquer leurs idées néfastes. Comme ils sont protégés à vie, ce ne sera bien sûr pas le cas et ils pourront poursuivre impunément leur travail de destruction.
Evidemment, les grévistes considèrent qu’ils sont dans leur droit car un gauchiste a tous les droits et surtout celui de détruire. Le pire est que cette destruction systématique de la société, de l’économie et de toutes formes de règles est à l’œuvre au jour le jour dans nos classes. Cette grève n’est que la partie visible de l’iceberg de bourrage de crâne que subissent nos élèves dans un grand nombre de classes.
Pour ces enseignants gauchistes – hélas très nombreux – il n’y a plus la moindre éthique, le moindre devoir de neutralité. Il s’agit de bourrer le crane des élèves de la doxa gauchiste, anticapitaliste, anti-industrielle et multiculturaliste. Ce phénomène est tout particulièrement marqué en philosophie où l’engeance gauchiste pullule.
Et les parents le savent très bien : dans de nombreuses classes les notes sont attribuées non pas en fonction de la qualité du travail mais en fonction de l’adhésion aux thèses de gauche exposées par de soi-disant professeurs. Heureusement les élèves sont souvent suffisamment intelligents pour simuler une adhésion aux thèses de l’enseignant pour ne pas être pénalisés tout en n’adhérant aucunement à sa propagande.
La morale des « hussards noirs de la république », qui indépendamment de leurs opinions personnelles, avaient à cœur d’enseigner et de donner l’exemple est bien terminée. Bien sûr tous les profs ne sont pas aussi extrémistes que ceux qui prennent les élèves en otage le jour du bac. Mais beaucoup propagent des idées gauchistes dont le but est de détruire et non de construire.
Ce qu’il faut bien réaliser c’est que dans l’enseignement public, tout élève sera confronté à un moment ou à un autre à ce genre de destructeur. Cela contribue à faire de la société française une population dont les deux valeurs cardinales sont jalousie et égoïsme. En ce sens les gauchistes réussissent remarquablement leur travail de sape car ces deux éléments sont les plus destructeurs possibles d’une société.
CLUB DANTON