On voit parmi les gilets jaunes beaucoup de femmes qui souvent n’arrivent plus à élever correctement leurs enfants. Ces mamans seules avec un petit salaire sont devenues un des foyers de pauvreté en France. Pour les aider il faut que les pères assument.
Les lois françaises permettent de faire reconnaître la paternité avec des conditions précises de délai mais les procédures sont lourdes.
Or aujourd’hui la recherche de paternité par test d’ADN est très simple, très rapide et fait foi dans tous les cas.
Beaucoup de mères hésitent pourtant à avoir recours à cette procédure car elles craignent que cela donne à leur ex-compagnon des droits sur leur enfant. On pourrait pourtant définir une liste de principes simples et contraignants pour le père :
• Le père biologique doit une pension alimentaire à son enfant et celle-ci est collectée par l’État pour éviter tout lien direct avec sa famille,
• L’enfant a un droit dans la succession du père,
• Un père qui abandonne son enfant pendant plus de deux ans n’a plus aucun droit sur lui mais conserve tous ses devoirs,
• Un père qui – avec l’accord de la mère – voudra reconnaître son enfant le fera par adoption.
Ces principes simples et clairs devraient faire augmenter sensiblement le nombre de recherches en paternité. Ils pourraient aussi mettre un peu de plomb dans la tête des jeunes couples et atténuer la cavalcade folle de la liberté des mœurs qui déstructure la société et l’appauvrit.
Le sexe est sans limite sauf si l’argent le contraint. C’est un moyen efficace d’inciter à l’usage du préservatif ou, une fois un enfant né, à ne pas se séparer.
Ces mesures risquent d’être perçues comme punitives par les pères mais c’est bien le but. Elles doivent surtout être dissuasives.