L’affaire Agnelet est un exemple flagrant de plus de collusion maçonnique au niveau des juges. Le premier juge d’instruction qui est intervenu sur cette affaire, Bouaziz, alors qu’il avait déjà la majorité des preuves disponibles actuellement – et peut-être plus – n’a pas inculpé Agnelet. Tout s’est passé à Nice où le procureur, comme la majorité des magistrats et bien sûr comme Agnelet, fait partie du Grand Orient de France.
Le juge Mallard, qui succède à Bouaziz, ne fait pas de zèle et juge avec la même mansuétude. Le troisième juge, Boisseau, est un peu plus actif mais sur la base des mêmes éléments qu’aujourd’hui confirme le non-lieu.
Au niveau le plus élevé de la chancellerie on sait très bien que le corps des magistrats de Nice est pourri et Éric de Montgolfier est envoyé sur place pour faire le ménage. Celui-ci ne fait pas dans la dentelle et dénonce en public la confrérie niçoise et ses turpitudes. Et en boomerang, de Montgolfier est inculpé au pénal de fautes dans l’exercice de ses fonctions, fait rarissime dans ce milieu très corporatiste. Heureusement pour lui, l’affaire s’est terminée par un non-lieu mais le mal était fait. Et que sont devenus les trois juges initiaux dont la partialité a été mise à jour par Montgolfier : ils ont tous les trois été promus à des postes importants à Paris. Montgolfier aurait dû le savoir : on ne touche pas impunément à la franc-maçonnerie de la magistrature.
De Montgolfier, magistrat, est une victime particulière d’un système qui a détruit au fil du temps des milliers de vies pour faire de la place aux frères ou pour couvrir leurs turpitudes.
Sarkozy est une autre victime du Grand Orient et il lui faudra beaucoup de chance pour sortir indemne de leurs pattes car pour les francs-maçons tous les coups sont permis et surtout les plus tordus.
Le premier principe est qu’il n’existe pas de morale dans la franc-maçonnerie et tous les coquins peuvent s’y épanouir librement. La morale est faite pour les autres. C’est aussi le principe du socialisme.
DANTON
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